1. La Course


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fh, ffh, couplus, inconnu, ascendant, sauna, campagne, collection, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, jeu, sm, attache,

    ... marqué "Pavillon de chasse" : les lumières sont allumées. Aucun mouvement à l’intérieur. Je choisis d’en faire le tour et je trouve une réserve de bois. En la contournant, ma vue s’acclimate à la pénombre, de plus en plus importante avec la nuit qui est totalement tombée. J’aperçois une échelle qui mène sous le toit du chalet. J’y monte avec précaution. Personne en haut. Seule une petite fenêtre munie d’un volet de bois est légèrement ouverte, et la lumière fuse en bordure. Je m’approche doucement et je vois l’intérieur du bâtiment, qui est constitué d’une grande pièce unique, avec des dortoirs sur la mezzanine. Un grand feu flambe au milieu. Une petite musique classique se fait entendre. Bien sûr, je suis certain que Cathy l’a fait exprès pour couvrir tous les bruits… Mon regard est vite attiré par une ombre entre deux lits : Julie. Elle se cache à plat ventre, et je suis positionné à sa droite. Je n’aperçois que légèrement ses formes sous sa cape mauve. Cela ne laisse présager que de bonnes choses. Un oeil sur ma montre : huit heures moins cinq : plus que cinq minutes et j’aurai mon premier vêtement de la soirée. Huit heures. J’ouvre légèrement la fenêtre. La musique couvre le grincement. Julie semble fixée sur le rez-de-chaussée de la pièce. Je suis à une dizaine de mètres. Je m’approche lentement. Inutile de dire que mon cœur bat la chamade. Un mètre. Je ne peux pas m’empêcher de sourire quand je tends la main vers sa croupe. Elle fait un bond de surprise. — Ah, putain ...
    ... ! Tu m’as fait une frousse… Par où tu es entré ?— Derrière, il y a un comble, désolé… Elle se lève et j’aperçois sa petite nuisette en soie, qui laisse paraître de jolis petits tétons. Elle porte également des bas blancs. Ses cheveux, attachés en chignon, la rendent encore plus attirante que tout à l’heure, lors du repas. Elle s’approche de moi, tend les bras et m’embrasse goulûment. Je ne peux m’empêcher de lui caresser légèrement les hanches et je sens son string à travers la cape et la nuisette. Inutile de dire que j’ai une trique mémorable. Il faut que je coupe. — Allez, allez, j’attends mon gain…— OK, OK, qu’est-ce que tu veux ?— Pourquoi pas la nuisette ? Elle se recule lentement, me lance un regard lubrique et entame un joli strip-tease. Elle n’est pas bien grande, mais a une jolie petite touche espagnole qui la rend magnifique. J’aperçois ces deux sous-vêtements en dentelle bleu clair. Elle me lance la nuisette au visage, et je l’attrape, en sentant son parfum intime. Je m’approche d’elle, mais elle se recule immédiatement : — Peut-être tout à l’heure, Laurent. Mais tu ne dis à personne que je suis là, OK ?— OK, Julie, à tout à l’heure, alors. On se quitte rapidement et je repars précautionneusement par le chemin de mon entrée dans le pavillon de chasse. Je pars dans le bois, à demi-accroupi. J’aperçois une ombre entrer dans le pavillon. C’est Joël. Inutile de dire qu’il a déjà perdu un vêtement. Je fais le tour à distance du manoir par-derrière, en prenant bien des ...
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