Le concert
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
profélève,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
jeu,
La première nuit que je passai avec Juliette fut délicieuse. Mouvementée, car la belle et moi n’avions de cesse de découvrir le corps de l’autre dans ses moindres détails. Inoubliable, car tout cela était porté par un amour qui n’en finissait jamais de grandir. Je crois pouvoir dire que mon amour pour Juliette était plus fort au petit matin que la veille au soir. J’aurais aimé pouvoir dire que cette découverte intime qui nous avait liés, Juliette et moi, avait été idyllique, mais l’idée que Magali ne fût pas étrangère à l’excitation qui m’avait poussé à aller plus loin avec Juliette jetait une légère ombre au tableau. Vraiment légère car, ce matin, toutes mes pensées étaient pour Juliette et tous mes émois, mes sentiments étaient dirigés vers elle. Elle ne pouvait en douter en cette matinée tant cela devait se refléter dans mon regard. Juliette et moi avions dormi nus, l’un contre l’autre. Enfin… les rares fois où nous avions trouvé le sommeil. Nous avions fait l’amour de nombreuses fois et étions restés de longs moments dans une étreinte silencieuse où je pouvais voir son regard croiser le mien. J’aurais vraiment aimé être dans sa tête à ce moment-là pour savoir ce qu’elle se disait. Moi-même je pensais que je venais de trouver la fille, peut-être la femme de ma vie. Cela faisait une étrange sensation car je m’étais souvent demandé si je trouverais une fille qui puisse me faire comprendre ce qu’aimer voulait dire. Et, si c’était le cas, ce qu’elle faisait au moment où j’y ...
... pensais. Dans quel pays habitait-elle, qu’aimait-elle, que faisait-elle ? Je ne me posais plus vraiment ces questions. Au matin, nos corps se séparèrent sans regret car nous formions maintenant un couple entier et nous savions tous les deux que nous pourrions retrouver cette étreinte aussi souvent que nous le souhaiterions. Je me levai et m’approchai de la fenêtre pour voir la couleur du ciel, en prenant bien soin de ne pas être visible de l’extérieur. En fait, j’aurais mieux fait de me préoccuper de la porte de la chambre. Lorsque celle-ci s’ouvrit, je ne réagis pas immédiatement et, lorsque je me tournai enfin, c’était pour voir Magali qui me fixait avec des yeux ronds. Elle était déjà habillée et maquillée, et son expression prouvait qu’elle ne s’attendait pas à me voir là. Je me dirigeai rapidement vers le lit et pris un bout de couverture pour cacher ma nudité. Sur le coup, je n’étais même pas gêné de l’intrusion de Magali. Elle, par contre, était écarlate. — Désolée, je pensais que tu étais toute seule, Juliette. La Juliette en question était plutôt amusée par la situation. — Pas de soucis, dit-elle. Frappe, la prochaine fois. Magali hocha la tête comme une fillette reprise à l’ordre par sa mère. Elle me regardait toujours du coin de l’œil, mais elle n’avait plus rien de bien émoustillant à voir. Je lui rendis un regard embarrassé, prenant alors conscience de ce qu’elle avait dû voir. — Et sinon, tu comptes camper là ou tu vas me demander ce que tu étais venu demander ? ...