Ma coiffeuse
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
coiffure,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Collègues / Travail
Ma coiffeuse est jolie. Vraiment très jolie. Elle n’est pas grande, mais très bien proportionnée, brune aux yeux noirs à l’éclat intense quand elle vous regarde. C’est elle qui me coiffe depuis longtemps, et personne d’autre dans le salon. Au fil du temps une communication amicale, pour ne pas dire une complicité, s’est installée entre nous. Elle est toujours habillée de façon très chic, parfois sexy, voire carrément provocante. Elle affectionne les pantalons moulants, toujours dans les tons clairs, souvent taille basse, et sacrifie régulièrement à la mode en laissant voir son string dépasser du pantalon, juste à la naissance des fesses. Le salon n’étant pas climatisé, elle porte la plupart du temps des petits hauts minimalistes, sans manches, dans des tissus souples et fins. Bref, dès que j’entre dans le salon, la voir me réjouit la vue, et les sens en général… L’histoire que je vais vous raconter s’est passée récemment, un jour de juillet particulièrement chaud. Contrairement à mon habitude j’avais pris rendez-vous en fin d’après-midi, juste avant la fermeture. J’étais le dernier client et, le hasard faisant bien les choses, le patron de Christine avait une course à faire. Alors qu’elle commençait mon shampooing, il lui demanda si, ce soir-là, elle pouvait fermer le salon à sa place. — Pas de problème, dit-elle, j’ai un double des clefs. À demain. Puis elle continua à me laver les cheveux. Comme souvent, elle me frôlait par inadvertance en tournant autour du siège pour ...
... faire son travail. Elle ne devait même pas s’en apercevoir mais moi j’attendais, j’espérais ces contacts rapides et furtifs. Tantôt un sein s’appuyait un bref instant sur mon épaule ou sur ma nuque, tantôt une hanche frôlait mon bras ou ma cuisse. Et tandis qu’elle faisait comme d’habitude consciencieusement son travail en devisant avec moi, je frissonnais comme d’habitude à chaque contact et je ne pouvais détacher mon regard de ses fesses rebondies serrées dans son pantalon blanc sans poches ni coutures, du motif en dentelle ponctuant l’attache des trois lanières de son string et de son soutien-gorge couleur chair, visible sans difficulté par l’ouverture de son corsage en mousseline rouge. Sans doute émoustillé par la chaleur, l’absence de son patron et quelques pensées plus érotiques que d’habitude, je remarquai que ses seins avaient une forme parfaite, un galbe admirable, serrés qu’ils étaient dans leur écrin plus qu’ajusté. La maille fine et souple du soutien-gorge laissait voir sans ambiguïté ses aréoles sombres et ses tétons, curieusement tendus et gonflés. Ces visions plus que sensuelles eurent un effet immédiat : je me mis à bander dans mon bermuda comme aux meilleurs moments, presque gêné à l’idée que Christine s’en aperçoive. À ce moment je sentis une pression des seins de Christine sur mon épaule moins naturelle que d’ordinaire, moins furtive, presque volontaire, juste avant qu’elle ne dise : — Voilà, le shampoing est terminé, si vous voulez passer dans ce fauteuil. ...