Ma coiffeuse
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
coiffure,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Collègues / Travail
... Elle s’écarta pour me laisser passer et nos regards se croisèrent dans le miroir : il était évident qu’elle cherchait ce contact visuel et quand elle eut accroché mon regard, elle me gratifia d’un large sourire. Je me dis que quelque chose d’inhabituel était en train de se passer. Quoi exactement, je l’ignorais, mais cela ressemblait à un de ces petits jeux de séduction anodins que j’affectionne. Je m’assis donc devant le miroir et, au même moment, malgré la musique diffusée par la petite chaîne hi-fi posée dans un coin, j’entendis un déclic, alors que Christine revenait vers moi pour me présenter une blouse à enfiler : elle venait de verrouiller la porte du salon ! Mes soupçons (mes espoirs ?) se confirmaient : j’entrais dans un véritable jeu érotique, initié par ma coiffeuse, laquelle allait jouer un long moment au chat et à la souris avec moi, avant une apothéose mémorable ! Au lieu de me laisser me débrouiller avec la blouse, elle tint à me l’enfiler elle-même, glissant ses mains sur mes bras pour remonter chaque manche. Elle appuya enfin ses deux mains sur ma nuque pour m’obliger à baisser la tête afin de nouer les cordons de la blouse. Une fois le nœud fait, elle enfonça brusquement ses doigts dans ma tignasse épaisse pour un massage aussi bref que sensuel. Ce faisant elle avait appuyé ses seins contre mon dos (comme je suis plutôt grand, je dépasse nettement du dossier). Comprenant le signal, je voulus empoigner ses fesses en lançant mes mains en arrière, mais je ne ...
... rencontrai que le vide : la coquine s’était esquivée prestement ! Alors qu’elle passait devant moi, je voulus récidiver mais je reçus le même accueil, ponctué d’un « Pas touche » autoritaire mais souriant. Par contre, me tournant le dos, elle se pencha pour prendre ses ustensiles dans un tiroir, les jambes tendues : je pus admirer à loisir son petit cul parfait, ses fesses rondes et sublimes, littéralement peintes en blanc par le tissu ajusté. Elle se retourna lentement, les jambes légèrement écartées, en posant lentement peignes, ciseaux et rasoir sur la console devant moi. Son regard était vissé au mien, mais je m’en détachai pour admirer son côté face, au moins aussi excitant que son côté pile. Sans que je m’en rende compte, elle avait déboutonné son corsage jusqu’au nombril. Ses seins apparaissaient fièrement entre les pans de tissu rouge, gonflés par le soutien-gorge mais sans doute aussi par l’excitation. Le tissu couleur chair était si fin que ses seins semblaient nus. Mon regard alternait entre sa poitrine et son bas-ventre : son pantalon si serré laissait deviner un gonflement des lèvres de son sexe, séparées par le sillon de sa vulve tracé dans le tissu. La forme de son sexe était si nette que je l’imaginais presque sûrement rasé : un sexe féminin imberbe, même protégé par le fragile rempart d’un string, ne peut se dissimuler bien longtemps lorsque l’excitation le gonfle ainsi ! Il était impossible qu’elle ignore encore mon propre désir : son regard descendit en effet ...