Cocu story -1 -
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
Hardcore,
Humour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... illégitime.Les yeux fermés, la bouche entre ouverte, elle grimace légèrement quand elle se sent pleinement investie. Son Rimmel a coulé sur ses joues rosies.Je remarque au passage que nulle protection ne recouvre le membre qui ressort parfois des chairs offertes, couvert de sécrétions révélatrices.Ca et là, éparpillés sur le lit, les jouets coquins dont nous nous servons quelque fois lors de nos ébats, semblent me narguer. Je les croyais réservés à notre intimité, un autre que moi s'en est servi.Comme hypnotisé, je ne peux détacher mon regard de cette scène dont nulle tendresse, nul érotisme ne ressortent.Mon adorable Claire avec ses formes généreuses, sa blondeur naturelle est entrain de baiser, et c'est le terme parfait pour qualifier ce que je vois, avec Marc, son mètre quatre vingt et sa musculature entretenue.Le rythme de l'homme ne faiblit pas, ma compagne l'encourage en poussant de longs gémissements qui, je le sais, révèlent chez elle un état d'excitation qui va bientôt l'amener à une forte jouissanceReprenant peu à peu conscience, je me décide enfin à me retirer doucement, pour réfléchir calmement.C'est alors que j'entends des mots qui me glacent et font monter en moi une vague de colère et de dégout :" je te baise mieux que ton mari , hein ?Oh oui ! Tu me fais jouir comme jamais !Mon sang bouillonne, ses paroles me frappent en plein dans un amour propre que je tentais d'étouffer.Plein d'une froide colère, je pousse alors la porte je leur lance un " Surtout ne ...
... vous gênez pas pour moi !" Qui fait beugler un cri d'effroi à la gourgandine et un " Merde " tonitruant à son amant.Un bref instant nous nous retrouvons en pleine scène d'un mauvais Feydau, la légèreté en moins.Marc devient écarlate et son sexe redevant flasque sort de celui de ma femme.Claire a la bouche bée, les yeux écarquillés d'une personne surprise en mauvaise posture.Quant à moi, mon regard passe de l'un à l'autre , comme pour m'imprégner davantage de mon infortune.Les secondes passent, le silence n'est interrompu que par le chant de la comtoise sonnant les quatre coups d'une heure pleine dont je me souviendrai longtemps.Et je fais demi tour.Claire me lance un :" Pierre, attend, laisse moi t'expliquer" qui ne trouve aucun écho.M'expliquer quoi ? Que je suis cocu ? Merci, j'avais remarqué. A quoi bon se lancer dans des explications inutiles, autant s'éviter une scène pénible .Aujourd'hui encore, je ne peux mettre des mots sur ce que j'ai ressenti à cet instant précis.La tension est retombée, la fièvre a repris le dessus et c'est un automate qui, mécaniquement, rejoint sa voiture.Le monde s'écroule. Non, Mon monde s'écroule.Une immense lassitude s'empare de moi, l'impression que tout ce à quoi je croyais n était qu'artifices et faux semblants.Mes yeux s'embuent. Désabusé, la tête basse, je n'ai qu'une hâte, me retrouver seul dans ma voiture.J'enclenche la première et c'est en spectateur que je me vois rouler vers la ville.Pas un mot n'a accompagné ma retraite, pas une ...