Cocu story -1 -
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
Hardcore,
Humour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... supplique n'est sortie de la bouche infidèle, pas un bredouillement n'a balbutié le faux ami.Un bar, enfin...J'ai du oublier mon portefeuille à l'agence, quelques billets traînent au fond de mes poches.Je m'attable devant un whisky, double, sec, les yeux dans le vague, les bleus à l'âme, bien décidé à boire jusqu'à que l'ivresse me fasse tout oublier.Le serveur remarque ma pâleur et me demande si tout va bien.D'un sourire triste je le rassure en invoquant une fatigue passagère.C'est un somnambule qui porte le verre à la bouche pour avaler une gorgée qui m'arrache le gosier.Mon malaise est grandissant et, soudain, une douleur intense dans la poitrine me fait me lever en titubant pour m'écrouler violemment sur la table dans un fracas de verre brisé.Je reprends connaissance au moment ou les secours arrivent.Un médecin m'examine longuement, me questionnant doucement pour en arriver à diagnostiquer :" Petite alerte cardiaque compliquée par une mauvaise grippe. On vous hospitalise quelques jours le temps de vous remettre et de faire quelques examen complémentaires. Ne vous en faites pas, ce n'est pas bien grave. Qui doit on prévenir ?Est ce que je vais mourir ?Oui, comme moi, mais pas dans les prochains jours, rassurez vousAlors tant que je ne suis pas mort, il n'y a personne à prévenir.Vous êtes sur ?CertainComme vous voudrez , Monsieur ..?Dupond , avec un D, JeanVotre téléphone n'arrête pas pas de sonner Mr Dupond, une certaine ClaireVoudriez vous bien me le passer s'il vous ...
... plaît ?Et je l'éteins...Cela fait une semaine que je suis à l'hôpital.Je me sens bien mieux, physiquement du moins.!Seul Claude, mon ami et associé vient me rendre visite. Normal, lui seul sait que je suis là et ce qui est arrivé. Je l'ai appelé le surlendemain de mon admission. Il a d'abord commencé par m'enguirlander avant que je ne lui raconte, pas en détail tout de même, ma triste découverte.Son soutien est sans faille et il sait toujours trouver les mots qui sonnent juste pour me réconforter.Les infirmières, pas toutes jolies et pas toutes sympathiques s'étonnent de l'entendre m'appeler Pierre . Cela rajoute du mystère à ma présence.L'une d'entre elles est particulièrement agréable. Souriante, avenante, elle arrive à m'arracher un sourire quand elle rentre dans la chambre.Son physique aussi ne manque pas de charme. On ne peut pas dire qu'elle soit d'une beauté à couper le souffle mais une grâce certaine se dégage d'elle.Brune, la peau mate, les yeux brillant, elle rit de bon coeur découvrant des dents ivoirines parfaitement rangées.Ses cheveux frisés sont rattachés en chignon et des mèches rebelles s'en échappent donnant une touche insoumise à une tenue qui se voudrait lisse.Le fantasme de la soignante nue sous sa blouse n'est certainement pas étranger au fait que je puisse rêver, quelquefois, d'une aventure torride entre nous.J'imagine alors, qu'un soir, les couloirs ayant été désertés de leur va et vient diurnes, elle rentrerait dans ma chambre et que là, lascivement , ...