1. L'ouvrier du 15ème étage


    Datte: 28/01/2020, Catégories: hh, Oral hsodo, Gay

    Cette histoire se passe en juillet alors que je venais d’emménager il y a peu, dans mon nouvel appartement. Je vis dans un grand immeuble de trente étages et me situe pour ma part au quinzième. À cette époque, le syndic avait embauché une entreprise pour ravaler la façade de l’immeuble. Tous les matins, quand je prenais mon petit déjeuner, j’avais la surprise de voir un monte-charge passer devant ma fenêtre avec deux ouvriers matant sans scrupule l’intérieur des appartements et ses occupants. C’était plutôt désagréable car j’ai l’habitude de me balader à poil chez moi et là, même au quinzième étage, j’étais obligé de prendre des précautions. Étant dans un studio, je n’avais pas d’autre pièce où aller pour m’adonner à mon activité favorite, la masturbation. Ils ne stationnaient pas mais j’avais malgré tout de grandes chances d’être surpris donc j’attendais généralement la fin de la journée, sur les coups de 16 h 30 pour me sentir libre de me branler sur Revebebe. Les jours passaient et je conservai cette habitude, ma branlette quotidienne de 16 h 30. Mais mes fantasmes différaient, avec mon petit côté exhibe, je pris plaisir à m’imaginer surpris la main sur le chibre par des ouvriers en plein boulot. Cela prit du temps mais l’idée fit si bien son chemin, qu’un jour je me décidai à exposer mon intimité aux travailleurs. En me penchant par-dessus le rebord de la fenêtre, je pus voir le monte-charge commencer son ascension. Dans le même temps, je m’installai de sorte que les ...
    ... ouvriers me voient de dos afin de pouvoir feindre ne pas savoir être épié. De la même façon, les ouvriers pouvaient mater mon écran d’ordinateur et le film de cul que je regardais… Je baissai mon jean et commençai à m’astiquer. J’entendis les bruits qui indiquaient que le monte-charge arrivait, ce qui me fila une trique de dingue. J’avais rarement bandé aussi dur. Ils étaient de plus en plus proches, je les estimai vers le douzième, et je bandais toujours comme un taureau. Treizième, quatorzième… puis je vis l’ombre passer ; ça y était, ils étaient là. J’avais espéré un arrêt mais le monte-charge passa sans l’ombre d’un stop. Je doutai même qu’ils m’aient aperçu, peut-être que cette fois-ci, les ouvriers ne regardaient pas à l’intérieur. La déception se fit instantanément ressentir sur ma virilité. Cependant, excité comme je l’avais été, je n’ai pas hésité à recommencer mon jeu, encore, encore et encore… J’avais pris pour habitude de me branler sur des films gays. Je n’avais jamais essayé, mais j’avais bien compris que vouloir exciter des mâles en plein boulot travaillait mon côté salope. Il a fallu que j’attende la dixième ou onzième fois pour voir une quelconque réaction chez mes espions. Alors que le monte-charge commençait son inexorable ascension et que je me mettais à nouveau en scène, je l’entendis cette fois s’arrêter en face de ma fenêtre. Mon cœur palpitait. J’étais à la fois terriblement excité mais aussi un peu mal à l’aise. À cet instant, se passa quelque chose que ...
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