1. L'ouvrier du 15ème étage


    Datte: 28/01/2020, Catégories: hh, Oral hsodo, Gay

    ... je n’avais absolument pas prévu, j’entendis toquer à la fenêtre. Je tressaillis et en un instant je me retournai et remontai moncalebar tant bien que mal sur ma bite encore toute bandée. Un ouvrier me matait et souriait. À ma grande surprise, il était seul dans le monte-charge. Je restai ahuri attendant de savoir ce qu’il souhaitait. Il retapa une seconde fois au carreau et je fus donc obligé de lui ouvrir pour entamer la discussion. Il fut assez direct. — Bonjour, ça va ?— Euh, oui ! répondis-je— Dis-moi, ça fait plusieurs semaines que je passe avec mes collègues devant ta fenêtre et qu’on rigole un peu à te voir faire. Je pense que tu as très bien saisi qu’on était là et moi ça a tendance à terriblement m’exciter. Alors tu vois, là mes collègues sont partis bouffer et moi j’ai bien envie de profiter de ma pause midi pour autre chose Je voyais très bien où il voulait en venir mais je restais interdit devant cette proposition que je n’avais pas du tout anticipée. — Alors tu m’invites à entrer ? s’impatienta-t-il— Euh, oui, bien sûr. Et voilà qu’un ouvrier rentrait chez moi par la fenêtre du quinzième étage. Ne sachant par où commencer, je me décidai à lui proposer un verre qu’il accepta. Puis rapidement il prit les choses en main. Je n’en attendais pas moins étant un peu interloqué par la situation. — Bon mon grand, j’ai remarqué que ce que tu matais, c’était des hommes donc tu me refuseras pas une petite fellation ? Il joignit les actes aux paroles et abaissa son pantalon ...
    ... dévoilant un sexe déjà dur, de taille moyenne bien épilé. Sans hésitation, je me suis empressé sur son sexe. C’était ma première fellation. Quel souvenir j’en garde ! Je pris tout son sexe en bouche, j’imprimais des va-et-vient depuis la base de son sexe et remontais en m’attardant un peu sur la verge. Je lui malaxais les boules en même temps et je sentais son sexe dur comme une barre de fer. Ses gémissements s’intensifièrent et je sentis qu’il n’allait pas tarder à tout lâcher à ce rythme-là. Lui aussi d’ailleurs car il me stoppa net. Se refusant à finir tout de suite, il me dit d’aller sur mon lit. Il prit les choses en main comme on aurait pu attendre qu’un ouvrier le fasse, symbole de virilité et de rudesse s’il en est. Un peu rustre, il n’hésitait pas à me brusquer, dans les gestes comme dans les paroles, mais ça ne me dérangeait pas. Il m’ordonna de me dessaper et me mit sur le dos. Il m’écarta les jambes et commença à me lécher l’anus et les boules. J’étais choqué. Tellement surpris par ce que j’étais en train de faire… Et en même temps que je pensais à tout ceci, je sentis que je mouillais du cul. J’étais lubrifié et mon acolyte n’hésita pas à m’insérer un doigt. Il ajouta : — Dis donc t’es serré, mais j’ai pas le temps de te préparer comme il faudrait, allez retourne-toi. J’avais peur de la douleur mais je me mis néanmoins en position de levrette directement. Le cul béant, j’attendis qu’il me pénètre. Je l’entendis s’afférer, cracher un peu sur ses mains, je l’imaginai ...