Brutale tentation
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
Collègues / Travail
fépilée,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
... repoussée fermement lorsque j’avais voulu l’embrasser, évoquant le contexte et les bonnes relations que nous avions déjà. En me saisissant par les épaules il m’avait éloignée de lui et m’avait demandé de sortir de son bureau, sans discussion possible. Depuis cet instant, je le voulais, j’avais envie de lui un peu comme on a faim, de manière incontrôlable et brutale. Guidée par mon excitation grandissante, je l’avais chauffé petit à petit, chaque jour, sans relâche, jusqu’à obtenir de lui ce rendez-vous à l’extérieur. Tout cela se faisait malgré moi, je ne me contrôlais plus ! J’avais tellement envie de son corps contre le mien que cela me réveillait la nuit. Je me retrouvais fiévreuse et agitée dans mon lit, trempée d’excitation, à côté de mon mari endormi qui ne se doutait de rien. Maintenant nous étions tous les deux dans cette chambre d’hôtel, l’un en face de l’autre, sans le problème d’éventuels collègues qui pourraient nous voir ou nous entendre, sans l’angoisse d’être surpris par un importun. Je me dirigeai vers la fenêtre de la chambre, jetai un coup d’œil dehors puis je proposai à Gilles de tirer les rideaux. — Je ne suis pas venu jusque-là pour rester dans le noir et ne pas te voir, Diane… Je souris car c’est ce que j’avais envie d’entendre. Je voulais qu’il me regarde dans les moindres détails. Plus jeune que lui de quelques années, je suis une femme pulpeuse qui s’assume. Mes courbes assez généreuses sont un appel à la sensualité. Je suis dotée d’une poitrine ...
... très généreuse, un bonnet D qui affole les hommes. Lorsque je me déplace, mes seins lourds bougent doucement au rythme de ma démarche, hypnotisant ceux qui me croisent ! Je m’en rends compte et je fais attention à m’habiller de manière discrète, notamment en évitant soigneusement les décolletés sur mon lieu de travail. — Tu as envie de me voir sous toutes les coutures ? Tu veux vérifier si tout a bien été recousu.— Oui, c’est tout à fait ça ! Je suis venu pour vérifier si vraiment tu n’as pas un accroc, pas le moindre effilochement, pas une maille sautée, pas une fronce ni aucun faux pli ! Il va me falloir être précis pour cela ! Je décrochai alors la fine barrette qui retenait mes longs cheveux blonds bouclés et j’enlevai mes bottines à talons. — Tu vas me voir comme tu ne m’as jamais vue. Je souriais car j’étais en effet plus petite que lui et je portais toujours des chaussures à hauts talons. Du haut de mon mètre soixante-quatre je devais lever la tête pour planter mes yeux bleus dans son doux regard noisette. Il avait envie de rire lui aussi, ce qui se produisait à chaque fois que nous nous parlions, tant notre complicité était grande. Mais là c’était sa fébrilité qui prenait le dessus, lui aussi était pris par le violent désir de me toucher, de me posséder. Il enleva ses chaussures pour descendre d’un cran alors qu’à l’inverse son excitation montait d’un cran ! Je m’approchai de lui, j’effleurai ses joues mal rasées du bout des doigts, le picotement sur ma peau me rappela ...