1. Brutale tentation


    Datte: 28/01/2020, Catégories: fh, extracon, copains, Collègues / Travail fépilée, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme strip,

    ... immédiatement notre premier contact électrique… Puis je passai mes mains dans ses courts cheveux bruns et je l’attirai vers moi. Je posai tendrement mes lèvres sur sa lèvre supérieure et je l’embrassai. La chaleur se diffusa dans tout mon corps en même temps qu’un frisson me prenait entièrement. La sensation de ce baiser enfin partagé était délicieuse. Nos lèvres ne se quittaient plus, il me rendait mon baiser avec douceur, comme pour savourer ce moment d’intimité tant attendu. Je m’enhardissais et je vins taquiner sa lèvre inférieure du bout de la langue. Cela le rendit fou et il m’agrippa par les hanches pour me serrer contre lui. Je posai mes mains sur sa taille puis je les passai dans son dos, je voulais le toucher, le sentir proche de moi. Notre baiser se fit plus profond, nos langues se mêlaient doucement, naturellement, comme si ce baiser n’était qu’une suite logique de notre relation. Je sentais maintenant contre moi l’érection de mon partenaire, ce qui échauffait mes sens encore plus, je me pressais enfin tant que je pouvais contre le corps massif de l’homme dont je rêvais depuis une semaine. J’avais finalement la réponse à la question qui me taraudait tant : notre premier baiser fugace et involontaire avait bien été l’étincelle qui avait éveillé mon désir pour lui. Je ne m’étais pas trompée. Désorientée, je rompis notre étreinte et je reculai de quelques pas. Je me touchai le visage, comme pour vérifier que j’avais bien perçu ses lèvres chaudes sur les miennes et ...
    ... sa langue agile dans ma bouche. La sensation agréable et durable de ce baiser semblait faire partie de moi tant j’étais émue. J’étais sous l’emprise de mes sens. — Diane, ça va ?— Oui mais je… c’était vraiment bon… très agréable… peut-être trop.— Bon et maintenant ? On ne peut pas s’arrêter là, on n’est plus en quatrième tu sais, si tu m’allumes il faut m’éteindre ma belle ! J’en veux plus, je te veux. Maintenant. On sentait dans sa voix la fougue de l’homme excité, qui en veut encore plus. J’hésitai un instant. Moi qui pourtant n’étais pas farouche, je me sentais prise d’un tremblement, paralysée par la peur irraisonnée d’une femme qui se retrouve offerte au désir brutal d’un mâle ! Gilles enleva son pull. Je réfléchis rapidement et je décidai de me donner encore un peu de temps. De donner à notre union encore un peu de temps. Je m’approchai de lui, l’embrassai à nouveau puis je défis moi-même l’épaisse ceinture de cuir et l’aidai à faire glisser son jean au sol. Il ôta son tee-shirt et se retrouva debout face à moi. Son boxer noir peinait à contenir son sexe gonflé, manifestement d’une taille imposante. Je passai ma langue sur mes lèvres. Avec gourmandise, je m’imaginais déjà lécher et sucer cette queue que je n’avais même pas encore vue. Je regardais le corps robuste de Gilles, un vrai corps d’homme bien bâti et massif. C’était cela qui m’excitait en lui, une sorte de vigueur animale qui se dégageait de cet homme, comme si entre ses bras, entre ses doigts, tout pouvait ...
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