Retour à la villa. Le matin. - Histoires de Sexe

Retour à la villa. Le matin.

... ses seins tremblaient légèrement au rythme de l’essuyage de ses mèches blondes. Les jambes légèrement écartées et son ventre plat terminé par sa petite toison soyeuse où perlait encore quelques gouttes d’eau, le galbe de ses fesses, me donnèrent une bouffée d’adrénaline avec effet immédiat sur la rigidité de mon sexe. Elle était encore plus désirable que sur la plage, ce matin ! Se frottant toujours les cheveux, elle s’approcha avec un petit sourire, abandonna sa serviette par terre, mit ses bras autour de mon cou, se colla à moi. Je sentis l’excitation m’envahir. Sans un mot elle m’embrassa, puis s’écartant un peu : — J’ai tout raconté à Apolline de nos ébats de ce matin.— Je m’en étais douté tout à l’heure, quand vous êtes allées faire le café. Alors, tu me fais un cinéma en arrivant sans ta culotte et tu te précipites pour tout raconter. D’ailleurs Apolline ne semblait pas très contente.— Oui, mais c’est arrangé. Juste un peu de jalousie. Il faut que je te dise, je n’ai pas de secrets pour elle. Nous sommes copines depuis si longtemps que nous avons l’habitude de tout partager.— Et vous voudriez aussi me partager, si je comprends bien ?— Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, mais c’est vrai qu’elle te trouve assez bien foutu. Et toi, qu’est-ce que t’en penses ? Elle te plaît ? Sa question me prit au dépourvu. Je ne savais pas si c’était un piège ou une incitation à plus. Enfin, dans le doute, j’esquivai sur le ton de la plaisanterie : — Bien sûr, qu’elle est sympa, tiens ! ...

... Comme pour toi, si elle m’invitait dans sa baignoire, je n’irais pas me mettre dans le porte savonnette.— Salaud, dit-elle en riant de ma plaisanterie. Alors tu serais déjà prêt à me tromper avec ma meilleure amie ? Bravo!— Non, pas du tout, c’est seulement si tu es là, comme ça, ce ne sera pas vraiment une tromperie et tu pourras même participer, glissai-je dans un baiser.— Ah oui, je vois… Le fantasme du gars avec deux filles, murmura-t-elle en me rendant mon baiser dans le cou.— Oui, mais pas n’importe quelles filles, uniquement avec deux des plus désirables… Elle minauda un peu dans mon oreille et puis nos langues se mêlèrent à nouveau dans une fièvre de désirs, comme si cet échange verbal l’avait encore plus excitée. Mes mains descendirent sur son dos encore humide de la douche, pelotèrent ses fesses à pleine mains et caressèrent doucement son sexe par l’arrière. Elle se cambra et souleva légèrement une jambe pour me permettre de mieux accéder à la source de ses plaisirs. Complètement mouillée, elle me murmura à travers nos baisers : — Oh oui… Caresse-moi comme sur la plage… C’était si bon! Je ne me le fis pas dire deux fois et introduisis un doigt dans sa petite chatte, qui dégoulinait littéralement. Elle renforça encore sa prise sur moi et ses baisers devinrent plus frénétiques. Sa langue s’enroula autour de la mienne. Quelques caresses appuyées sur son clitoris plus tard, elle fut prise de petites secousses ponctuées de gémissements et d’onomatopées de plaisir. Enfin, ...