1. Retour à la villa. Le matin.


    Datte: 31/01/2020, Catégories: fh, copains, vacances, plage, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... comme sur la plage, elle eut un soubresaut et renversa la tête en arrière pour mieux prolonger sa jouissance. Au bout de quelques instants, elle reprit ses esprits : — Oh, si tu savais le plaisir que tu viens de me donner. Je suis désolée, je suis un peu égoïste, non ? Mais je n’ai pas pu résister à tes caresses…. Si tu savais comme tu m’as fait jouir !…. Tu as envie que je m’occupe aussi de toi ?— Quelle question ? Tu ne vois pas dans quel état je suis, peut-être ? Elle n’avait de toute façon pas attendu ma réponse. Mon tee-shirt était déjà passé par dessus ma tête et d’une main habile, elle défit les boutons de mon short pour le faire glisser jusqu’à mes pieds. Mon sexe à l’horizontal, bandait fièrement sous ses yeux. Plus dur, il ne pouvait pas. Elle le prit dans sa main et le branla un peu en cherchant dans mes yeux des traces d’un plaisir naissant. Elle y lut sans doute aussi mon envie que sa bouche puisse compléter sa main, car elle s’accroupit et après avoir donné quelques coups de langue le long de ma hampe, elle embrassa ma verge du bout des lèvres avant de l’engloutir complètement. Elle jouait de sa langue, tout en me branlant. Bon dieu ! Où avait-elle apprit à faire ça ? Je sentais une envie indescriptible monter en moi. — Oh, Sophie. Qu’est ce que tu fais ça bien, murmurai-je en caressant sa tignasse blonde. Si tu continues, je ne vais pas tarder à partir dans ta bouche. Je pensai qu’à ce moment là, comme bien d’autres de mes conquêtes éphémères, elle allait se ...
    ... retirer. Mais au contraire, elle me suça avec encore plus d’intensité et augmenta la fréquence de ses mouvements, en me pelotant les bourses de surcroît. Elle leva ses grands yeux bleus vers moi, dans lesquels j’y lus un défi que je pris comme une autorisation à me laisser aller. Ça ne fit qu’augmenter mon désir. D’un coup, la sensation de plaisir fut si forte que dans un cri, j’explosai tout au fond de sa gorge en jets saccadés. Elle continua à me pomper, jusqu’à ce que mes râles se fassent souffle. J’avais encore les jambes flageolantes quand elle se releva, et se colla à nouveau contre moi, les bras autour de mes épaules, son souffle chaud dans ma nuque. Doux instants, où le plaisir est encore si présent que la notion de temps n’existe plus. Un long moment s’était sans doute passé, car quelques coups frappés à la porte nous tirèrent de notre torpeur. — Bon, vous êtes prêts ? Ça fait au moins vingt minutes que je vous attends. Je reconnus la voix d’Apolline à travers la porte. — Oui, oui, j’arrive, dit Sophie en se dégageant de moi avec un bisou. Et comme pour donner le change : — Dépêche-toi un peu, Marc. On t’attend en bas. Pas encore complètement revenu sur terre, et trop estomaqué par le toupet de Sophie, je n’ai pu que marmonner un faible «Je me dépêche». Elle ramassa sa serviette, la mit autour d’elle rapidement et ouvrit la porte. Apolline apparut et jeta un coup d’œil appréciateur sur ma nudité. — Marc ! Ben alors ? Pas encore fini de te préparer… Vraiment… Je ne sais ...
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