La soeur de Fred (1)
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
La sœur de Fred Nous avions une maison à côté de l’abbaye Saint-Victor à Marseille, surplombant de cinquante mètres les bassins annexes du vieux-port et l’entrée du tunnel automobile du même nom. Fred, avec lequel je venais de passer mon bac, venait me rejoindre tous les après-midi dans le jardin, petit paradis au cœur de la ville, et nous parlions de tout. Nous nous étendions au soleil et bientôt, très à l’aise avec nos corps, nous bronzions nus, sans gêne et sans ambiguïté. Fred avait une mère irlandaise et un père alsacien; il avait une peau claire et les poils de son sexe étaient blonds, son bronzage léger. Il veillait à tout de même ne pas rester trop longtemps au soleil, même si refaire le monde nous prenait parfois plus de temps que prévu. Ce jour-là, vers quatre heure, la faim se fit sentir; nous nous rhabillâmes légèrement et j’allais à la boulangerie d’à côté acheter des navettes marseillaises, délicieux biscuit sec à la fleur d’oranger. L’apprentie qui y travaillait s’appliquait à ramasser les navettes par douzaines et à les mettre en sachets. Ce faisant, elle se penchait en avant et ses larges mamelles étaient offertes à notre vue; avec la chaleur d’aujourd’hui ses tétons étaient visibles car elle ne portait pas de soutien-gorge. Je poussais Fred du coude en lui désignant l’objet de mes regards; celui-ci sourit légèrement en apercevant l’opulence des seins de l’apprentie. Sortis de la boulangerie, nous dégustions nos navettes en suivant notre conversation de ...
... jeunes hommes. — Tu as vu cette paire de lolos ! En plus, il n’y avait rien pour nous les cacher ... — Oui, c’était sympa. Une fois rentré, Fred me posa des questions sur ma vie sexuelle, pendant que nous nous mettions nus, à nouveau. — Tu as une petite copine ? Non, je n’en avais pas. Et non,je n’en avais pas eu auparavant. Et je n’avais jamais embrassé de fille non plus, tout juste en avais-je tenu une par la main. Nue en vrai ? Ah non,je n’en avais jamais vue. En bref, je devais bien reconnaître que j’étais un puceau complet du haut de mes dix-huit ans de bachelier. — Et toi, tu as une copine ? Oui, il en avait une bien sûr. Et il en avait eu d’autres avant. Et il avait fait l’amour plusieurs fois. Il me raconta en détail comment on prépare une fille à l’amour et comment on la pénètre. Son récit me faisait bander et lui aussi. Il me raconta même que sa copine l’avait sucé la semaine dernière et que prise par le torrent de ses désirs, elle l’avait laissé éjaculer dans sa bouche. Cette dernière précision fit tressauter mon pénis et enflamma mon imaginaire. — Et bien ! Tu en as de la chance ! Après cela nous nous rhabillâmes, se donnant rendez-vous le lendemain pour un nouvel après-midi de farniente. _____________________________ A deux heures, Fred se présenta en compagnie d’une demoiselle. Sophie, me fit-il; c’est ma soeur. Nous allâmes nous installer au jardin. Sa conversation m’intéressait car elle venait de rater sa première année de médecine, et je m’apprêtais à suivre le ...