1. La soeur de Fred (1)


    Datte: 19/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... désir me réveilla et je me branlai vigoureusement en pensant à l’abricot juteux de Sophie. ______________________ Chaque jour de la semaine, nous passions les après-midi nus tous les trois. Sophie me parlait peu, me dévoilait son corps sans pudeur, tout naturellement, et j’attendais le tarot pour regarder et regarder encore ce sexe dont je ne pouvais me lasser. Alors, nous entamions la conversation au cours de laquelle je faisais preuve d’agilité et essayais de piquer sa curiosité. La demoiselle ayant beaucoup d’esprit, ses réflexions me laissaient songeur et je ne savais souvent plus quoi répliquer. Je revenais alors à mon délicieux voyeurisme, toujours protégé par mes lunettes de soleil, contemplais son con exposé. J’aurais aimé le posséder, mais me sentais trop gauche pour tenter quoi que ce soit auprès de sa propriétaire, qui ne se laissait visiblement pas impressionner par mes longues érections quotidiennes. Sitôt qu’ils étaient partis, je me masturbai pour vider mes testicules de ce trop plein d’images érotiques. J’éjaculai trois fois par jour, parfois quatre, tant la sollicitation était intense et longue. ____________________ Manon la coquine Et puis septembre vint, je partis m’installer à Montpellier pour étudier, tâchant de chasser ces images d’innocence érotique, d’oublier le bonheur que la nudité des corps exposés au soleil procure. Dans la rue, je n’en avais que pour les rousses et les peaux à taches de rousseur. Il m’arriva de revenir quatre fois dans le même ...
    ... magasin de vêtement pour discuter avec la jolie vendeuse à la chevelure rougeoyante et au décolleté avantageux. Sa copine passa près d’elle et lui chuchota « vas-y qu’est-ce que tu attends ? » et la vendeuse me mit sur un bout de papier son numéro de téléphone en m’expliquant qu’en cas de difficulté, elle ferait son possible pour me satisfaire. Je quittai le magasin sur cette formulation ambiguë, et la rappelai le soir même. Tout se passa très vite; elle me proposa de passer chez moi, m’enlaça puis se déshabilla sans que je lui demande. En moins d’une heure j’avais gagné une copine, perdu mon pucelage et ma liberté toute neuve de célibataire. Manon avait le corps souple et la chatte souvent ouverte. J’imposais rapidement la règle que nous vivrions nus à la maison, ce qu’elle accepta. Ce fut pour nous une grande source de plaisir charnel, car cette proximité des corps, conjuguée à notre jeunesse, nous donnait envie de faire l’amour tous les jours et même deux ou trois fois dans la même journée. Au fil des jours, nous inventions des fantasmes. Celui qui amenait Manon au septième ciel le plus rapidement consistait à l’exposer à un inconnu et à la regarder baiser avec lui. J’avoue que cela m’excitait aussi. Nous en parlâmes et je lui dit que j’aimerais réaliser ce fantasme. Pourquoi pas me dit-elle, si cela nous fait plaisir à tous les deux ? Le lendemain, j’invitais un ami à passer pour l’apéritif, j’appelai Manon au téléphone pour lui annoncer. Elle me demanda si elle devait ...
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