1. 7 - Le cul en deux...


    Datte: 20/09/2017, Catégories: hhh, hbi, hplusag, jeunes, grossexe, Oral hdanus, hsodo,

    ... mieux me planter sur sa queue lorsque sa chaude semence se répand dans mes entrailles en puissants jets. Je me contracte comme pour bien le vider, en extraire chaque goutte, jusqu’à ce qu’il termine de me transpercer. C’est ce moment que choisit Patrick pour me remplir la bouche comme s’il jouissait pour la première fois de la soirée. Mes amants, une fois de plus, me comblent. Si je n’ai pas d’orgasme physique, un véritable orage cérébral enivre mon cerveau. Un homme finit de tressaillir entre mes reins, n’effectuant plus que de petits mouvements, tandis qu’un deuxième largue sa dernière giclée entre mes lèvres. Le temps se dilate, les saveurs d’homme tapissent ma bouche, mon ventre se remet des assauts qu’il a subis cette nuit. La pression retombe. Je libère la verge de Patrick et entraîne Franck dans ma chute sur le côté. — Non, reste encore un peu en moi, l’implorais-je alors qu’il semblait reculer. J’en ai encore besoin un petit moment. Pat s’allonge contre mon dos, sa main sur mon ventre, son sexe contre mes fesses. Vaincu de tant d’amour, je gis entre mes deux valeureux guerriers. Le monde peut s’écrouler, plus rien en dehors de cette chambre n’a d’importance. Toujours solidement empalé, je peux aller au Walhalla l’esprit en paix. — Comment te sens-tu ? s’inquiète à voix basse Patrick. Tu n’as pas souffert ?— Souffert ? Vous vous êtes si bien occupé de moi que retrouver ma routine va être moralement éprouvant !— Voilà ce que j’aime chez toi : tes facultés ...
    ... d’adaptation. Je suis très heureux de t’avoir rencontré.— Inutile de vous dire que je ne pensais pas vivre quelque chose d’aussi agréable en venant ce soir ! ajoute Franck. Je m’attendais à un plan cul, et…— Et ? m’inquiétais-je en contractant mon sphincter autour de sa verge.— Vous m’avez bluffé. J’ai l’impression que nous connaissions déjà nos corps, comme si nous avions l’habitude de coucher ensemble.— Merci les garçons. Je me sens bien entre vous, plein de vos grosses queues et de votre sperme. J’en ai si souvent rêvé, jamais je n’aurai pensé que cela puisse être si bon et si agréable de… disons d’en prendre de partout. Nous ne bougeons plus et restons ainsi peut-être une demi-heure à parler. Nous sommes bien tous les trois, aucune gêne, aucun tabou. Même débandée, la queue de Franck, de par son anatomie, ne cherche pas à sortir. Je leur explique que je suis tellement plein de foutre qu’ils vont pouvoir me suivre à la trace. Avec douceur, je me défais de mon « habitant » dans un bruit assez significatif. Sa queue brille, une écume la couronne à la base de sa hampe et sur ses bourses. Incapable d’en perdre, je l’attire à moi et le nettoie amoureusement. Ils ont beaucoup ri de me voir marcher les fesses serrées lorsque nous sommes allés à la salle de bains. — Aucun doute pour qui ne sait pas : tu t’es fait casser le cul ! ironise Franck.— Vous avez vu ce que vous déchargez, tous les deux ?— À qui la faute ? Chantonnant l’air connu de Joe Cocker« You can leave your hat on », les mains ...