1. 7 - Le cul en deux...


    Datte: 20/09/2017, Catégories: hhh, hbi, hplusag, jeunes, grossexe, Oral hdanus, hsodo,

    ... ces sensations se percutent dans mon esprit, générant un délicieux climat d’excitation et de bien-être. — Oh ouiiii, là, j’ai besoin d’une grosse queue entre les fesses, m’écriais-je, excité comme jamais. Sautez-moi, j’en ai mal au ventre tant j’en ai envie. Patrick sort le gel de derrière les coussins, il a tout prévu. Le moment tant attendu arrive enfin. Franck m’en applique rapidement, puis enfin son gros champignon pointe mon anus. Pour la première fois de ma vie, je vais sentir une queue fouiller mes reins tout en en savourant une deuxième en simultané ! Sucer, donner, prendre, recevoir, tout s’emballe ! Je décide de me laisser porter ce soir, et de m’en remettre à mes deux complices, incapable de trancher pour quelque priorité que ce soit. La seule chose que je peux faire est d’accompagner leurs mouvements pour « fluidifier les étreintes ». Je pousse pour ouvrir mon anus alors que le gland force ma porte arrière pour lentement pénétrer mon sphincter, puis se cale ainsi un petit moment, tenant mes fesses largement ouvertes. J’ai très souvent remarqué que les gens bien montés, voire très bien montés, marquent toujours un arrêt une fois le gland passé, afin de laisser le temps aux muscles de se détendre, ce qui est logique, en plus d’être une délicate attention. — Oh putain, que c’est bon de se faire enculer ! ne puis-je m’empêcher de crier. Ouiii, glisse en moi. Cette bonne queue, déjà très impressionnante, ne peut cependant pas rivaliser avec celle que j’ai pris ...
    ... l’habitude d’engloutir ces derniers temps. La fonction crée l’organe, et comme Pat me sodomise plusieurs fois par semaine, je commence à être aguerri à cette pratique. — Merci ! Merci Patrick. Que c’est bon, d’avoir des queues de partout ! m’écriais-je en attrapant la sienne pour l’emboucher. Baisez-moi, embrochez-moi ! Ne résistant plus, je m’écarte les mandibules au maximum et suce mon complice à m’en démettre les cervicales. J’envoie quelques légers coups de bassin afin de bien lui faire comprendre mon désir « d’être sauté », il y répond immédiatement en glissant en moi par de douces poussées. J’arrête de sucer le temps de bien me sentir investir par cette longue barre, remerciant Patrick sans cesse pour ce qu’il est en train de me faire vivre. — Tu devrais avoir ce que tu désires depuis quelque temps, on va te remplir toute la soirée et essayer de te donner un maximum de plaisir ! me lance-t-il. Et tandis que ce long cylindre pénètre mon fondement, j’insinue un doigt au cul de mon « pompé », lui provoquant un petit grognement. — Quel cul tu as ! savoure mon enculeur, ses couilles touchant les miennes. Quelle souplesse ! Tu as trouvé une perle rare, tu ne m’avais pas menti. Ohhh que c’est bon ! Si sa bite est bien moins large, elle est par contre un peu plus longue, mais trouve néanmoins terre d’asile ! Je suce une queue, gobe ce gland turgescent, et ressens cet autre membre me distendre l’ampoule, commençant à me limer doucement. — Oh oui, remplissez-moi bien, comme ça, j’aime ...
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