1. 7 - Le cul en deux...


    Datte: 20/09/2017, Catégories: hhh, hbi, hplusag, jeunes, grossexe, Oral hdanus, hsodo,

    ... si bien, je ne vais pas tenir trop longtemps.— Moi non plus ! dit Franck. J’ai mal à la mâchoire. Mais qu’elle est bonne ! Je reste sur le dos, les genoux dans mes mains, outrageusement ouvert, offert. Après une petite dose de gel, Patrick vient « me couvrir ». Une main complice guide la lourde verge vers sa destination en lui disant de bien me remplir, ce qui est à peu près certain. Monsieur m’encule d’une seule poussée, faisant valser son gros paquet contre mon sacrum. Là, c’est à lui de jouir. Mes jambes se croisent dans son dos, mes bras se referment en emprisonnant ses épaules pour un accouplement que je désire fusionnel. — Viens vider tes belles couilles dans mon ventre, il est à toi. Baise-moi comme tu en as envie, jouis comme tu viens de me faire jouir. Ses fesses remontent pour mieux redescendre, il me projette sa virilité coup après coup en criant qu’il va vite décharger, que mon cul est fait pour en prendre. Franck, penché sur lui, semble lui lécher l’anus. Excité comme rarement par cette situation, j’envoie mon bassin pour aller au-devant de son sexe en me contractant de toutes mes forces autour de sa hampe. Je râle de bonheur, lui hurle que j’attends son foutre, qu’ensuite je voudrai celui de Franck. La tête m’en tourne, mes couilles sont comprimées contre son pubis, les siennes martèlent mes fesses. Soudain, il jouit, les dents serrées, tétanisé au fond de mon ventre. Son foutre gicle si fort que j’en ressens l’impact. Accroché à son corps comme un petit singe, ...
    ... je le pompe en une série de contractions anales et de coups de reins en le remerciant du cadeau qu’il est en train de me déposer. — Vide-toi bien dans mon cul, encore, oh ouiii. Ne puis-je me retenir de lui chuchoter à l’oreille. Oui, encore ! Tu sais qu’il est à toi, que tu peux y venir autant que tu veux. J’adore comme tu me baises. J’aime tout de ta grosse queue. Telle la vapeur d’une locomotive, son souffle brûle mon cou. Il est allongé de tout son long sur moi, collé à moi par notre sueur. Le battement de son cœur résonne dans ma poitrine alors que je caresse son dos tendrement, presque amoureusement. Il met un long moment à reprendre le court des choses, et sa queue a commencé à débander lorsqu’il se retire de mon intimité. Franck est là pour la récupérer. Sans hésitation, il s’emploie à la lui nettoyer. Je n’ai qu’un quart de tour à faire pour prendre sa queue circoncise en bouche. Une main sous ses couilles, l’autre autour de sa hampe, je l’engloutis avec gourmandise afin de le faire bander. L’homme est des plus réactifs, sa belle queue s’allonge sans se faire prier. — Vous ne baisez pas, vous deux, nous dit-il en se redressant, vous faites l’amour ! Il y a tant de délicatesse quand on vous observe !— Disons que l’on s’apprécie beaucoup, et que l’on s’entend bien aussi ! lui réponds-je. Tu as l’air d’être un gentil garçon, toi aussi. En quelques jours, qui sait, nous serions certainement aussi complémentaires !— Peut-être, c’est vrai.— Tu n’en es pas jaloux, au moins. ...
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