1. Quand la chaire s’éveille.


    Datte: 03/02/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... envie de déguster.– Mais dis-moi, tu m’as l’air bien dégourdi d’un coup. Ne me dis pas que c’est Luce qui t’a initié, je lui avais fait confiance et je m’aperçois qu’elle l’a trahi.– Oui mère, c’est bien Luce et aussi Line qui se sont permises de m’enseigner les rudiments de l’amour, enfin je devrais dire plutôt de la technique sexuelle.– Je l’aurai parié quand tu m’as annoncé que tu avais réussi à maîtriser un étalon en pleine course. Son explication ne m’avait pas trop convaincue. Dans ce cas, le pas étant franchi, on va consommer, mais là-dessus, motus et bouche cousue.Sur ce, il approche sa bouche de celle de sa mère et commence à lui lécher les lèvres, elle pour ne pas rester en arrière, elle continue son balancement d’avant en arrière, l’orgasme n’étant pas loin et au diable la morale, c’est vraiment trop bon. Son fils est vraiment mieux qu’un substitut, elle se questionne sur l’avenir de sa relation avec Jean, maintenant qu’elle a consommé avec son rejeton qui remplit mieux que tout ce qu’elle a pu imaginer dans ses rêves les plus fous.Elle accélère de plus en plus ses mouvements, venant même frotter son clito sur la tige lorsqu’elle est à moitié sortie, augmentant de ce fait la suavité du rapport.– Comment tu le ressens Ramon, je me sens très coupable, mais je dois reconnaître que c’est mieux que tout ce que j’ai connu jusqu’à ce jour, probablement dû aux mystères des interdits.– Maman, c’est comme moi, c’est 100 fois mieux qu’avec Luce et Line réunies, il y a une ...
    ... telle communion entre nous, j’aimerais que tu restes des heures comme cela à te balancer sur ma queue qui apprécie si bien ton intérieur, mais toutes fois, j’aimerais aussi lécher ton sexe et ton bouton d’amour pour m’imbiber de ton parfum !… J’ai ressenti tous les parfums de l’Andalousie, la passion de notre terre des Andals, le suc des fleurs de Grenade, la v******e des sentiments du Paso-doble ou du Flamenco, la générosité des terres du sud, tout, absolument tout !– Pour moi, c’est la même chose, j’aimerais aussi bien lécher et sucer ce qui me laboure si agréablement le bas ventre, tu veux qu’on se mette en soixante-neuf ? Mais si tu jouis, laisse-toi aller dans ma bouche, pour te goûter jusqu’au bout. Je te sors de moi et on se met en tête bêche, tu es d’accord ?– Oui mère, laisse-moi me faire envahir par la douceur de ton parfum intime, le goût tant désiré de ta chatte chatoyante, l’amertume de ton urètre et la rectitude de ton bouton d’amour.– Ne serrais-tu pas poète à tes heures ? Moi je vais me contenter de ce beau bâton de chair qui va m’octroyer au fond de mon palais, son dû de béchamel brûlante. Il est délicieux ton dard, oint moi de ta sauce intime. J’en ferais volontiers une grande consommation.– Tu n’es pas en retard dans les goûts et délices des instruments du péché. Tu régales mes papilles mieux que n’importe quelle quatre fourchettes de chez Michelin ou toques de Gault&Millau. Devant ce délice tellement aphrodisiaque, je ne peux retenir le déluge qui va envahir ...
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