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La folie du pleutre 7
Datte: 20/09/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
En roulant, je ne cesse de jeter un œil vers ma belle. Bien assise sur son siège je la sens un peu tendue. A chaque feu, quand nous sommes arrêtés, elle regarde les voitures ou passants un peu paniquée qu'on puisse apercevoir quelque chose. Sa petite veste cache sa poitrine mais sa nudité dessous ne fait aucun doute. Je suis comme dans un rêve. Elle est là à mes côtés, à peine vêtue et même si son soutien gorge est dans son sac, je la sais fragile et à la merci d'un simple incident qui la laisserait sans défense, nue. Elle aussi en a conscience mais s'efforce de n'en rien laisser croire ou voir. Je décide de laisser ma voiture dans un parking. Quand nous regagnons l'ascenseur pour sortir, je ne peux m'empêcher de la prendre dans mes bras pour échanger un long baiser. Coquin, je glisse une main dans son dos, descend sous les fesses et remonte sa robe pour lui caresser les cuisses. Lascive elle s'abandonne. J'accroche le bas de la robe à sa ceinture ce qui libère ma main et m'autorise de la glisser sous sa culotte et la caresser à même la peau. Cette peau si lisse et si douce ! J'imagine que les vigiles derrière les caméras de surveillance ne doivent rien manquer du spectacle et aussitôt je me mets à bander. Ma femme qui décidément se fait coquine, me rend mon baiser et ne fait rien pour enlever ma main. Je la reconnais à peine, elle si timide et réservée, elle se laisse mettre le cul à l'air dans une endroit public. L'effet Monsieur David ? On est bien loin de la séance du ...
... verre d'eau et du tonton libidineux, alors que nous n'étions qu'adolescents. - Tu es vraiment un cochon, finit-elle par me dire. Et je crois que j'aime les cochons ! Nous partons heureux vers le restaurant. Dans la rue je la tiens par la taille et nous marchons de concert. Beaucoup regardent ce couple, surtout la beauté de cette jeune femme à l'allure et à la silhouette si élégantes ! L'effet est identique quand le garçon de salle nous reçoit et nous emmène à notre table. Je choisis de la faire asseoir sur la banquette face à la salle pour qu'on puisse l'admirer à loisir. Je suis heureux car je l'aime. Elle est à moi ! Le pleutre ! Et une angoisse me serre le ventre quand je pense au piège tendu dans lequel elle se dirige en toute innocence et avec ma complicité. Le repas est celui de deux amoureux qui s'aiment et se dévorent des yeux. Au dessert, elle demande à aller aux toilettes pour se "refaire une beauté" comme disent les femmes avec classe et élégance. Je la vois alors traverser la salle sous les regards vicieux des hommes qui ne se cachent pas pour mater son cul et ses jambes. Son retour, visiblement attendu par la gent masculine, n'est pas moins observé. Je la sens convoitée, désirée. Je suis fier de ma belle, mais en même temps, je suis troublé car je ne perçois aucune timidité dans cette conduite. Ma douce semble prendre plaisir à être vue. Bien sûr, elle déambule les yeux baissés en signe de pudibonderie. Fausse pudeur ? Sa démarche légèrement chaloupée sur ses ...