J'aimerais du changement
Datte: 04/02/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
extracon,
inconnu,
essayage,
volupté,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
... ample connaissance. Elle vient assez tôt pour prendre mes consignes, se familiariser avec l’appartement et les enfants qu’elle devra surveiller, faire manger et coucher pas trop tard. Je suis ravie, elle me paraît parfaite. La soirée avec Luc est très agréable. Je l’observe, mine de rien, ne cessant de penser que je suis bien exigeante, que des millions de femmes en voudraient bien un comme ça. Qu’est-ce qu’il me faut de plus ? Et je parviens à me convaincre que je ne suis qu’une petite fille gâtée et capricieuse. Malgré tout, une vague sensation d’insatisfaction perdure. De retour à la maison, rien ne cloche ; les enfants dorment. Clémence lit un gros roman. Tout est calme et en ordre ; je lui remets l’enveloppe contenant son dû. Je suis si contente de ses services que, sur une impulsion, je lui plante une grosse bise sur la joue : — Vous êtes une chouette fille et je vous remercie beaucoup ! Elle est un peu surprise mais me renvoie un éclatant sourire. Ce soir-là, Luc m’a fait l’amour, très bien comme à son habitude, attentif à ce que j’ai au moins deux explosions de plaisir. Puisque vous insistez, voici le programme, que nous avons établi après des années de tâtonnement (c’est le cas de le dire), d’essais décevants, de timidités diverses et surtout de non-dits. Tout d’abord il me caresse tout partout, en m’embrassant longuement, puis ses baisers descendent de mes lèvres en poursuivant un chemin sinueux, avec très longues stations sur mes seins et savants agacements de mes ...
... tétons qu’il mordille doucement, puis accélération un peu affolante vers ma toison et arrêt-buffet sur ma fente. En quelques minutes, je suis parcourue de frémissements, puis de tremblements et je me dresse sur la nuque et les talons, tendue comme un arc, cuisses serrées sur ses joues, en émettant un long ululement dans l’oreiller que je me suis plaqué sur la bouche pour ne pas ameuter le quartier et réveiller les gosses. Il revient alors vers ma bouche et, ses yeux dans les miens, me fait goûter ce qu’il a recueilli dans ma vulve. Je suis en train d’atterrir doucement. Je ressemble sans doute à une flaque de glace à la vanille, toute fondue au fond de sa coupe. Je l’aime encore plus fort… mais ne peux m’empêcher de lui trouver le sourire triomphant, genre « J’assure, non ? »… Il ne dit rien. Il ne dit jamais rien pendant nos jeux amoureux et c’est aussi bien comme ça. Ça me déplairait totalement qu’il ajoute de la vantardise à ces instants de plaisir partagés. Il le sait et de plus il n’est pas prétentieux. Mais tout de même, ce sourire est triomphant ! Je ne ferai rien, bien sûr, pour le lui rentrer dans la gorge, je suis trop heureuse de ce qu’il vient de me faire. Pourquoi me vient-il à l’esprit que ça n’est pas suffisant? Je ne suis pas une épouse négligée, il s’en faut de beaucoup, alors quoi? Quand mon cœur a retrouvé un rythme normal ou presque, il recommence ses caresses. Je lui en prodigue aussi et il me pénètre, soit en missionnaire, soit en levrette, soit encore, ...