J'aimerais du changement
Datte: 04/02/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
extracon,
inconnu,
essayage,
volupté,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
... ce que nous préférons tous deux, couchés sur le côté droit, emboîtés en chien de fusil, lui derrière moi. Cette position étant très reposante, on peut faire durer, et il sait le faire, d’autant que pour ma part, le plaisir est plus long à monter. Quand il se manifeste, la contraction de mon vagin provoque aussi son explosion, et nous nous envolons ensemble. Le seul problème, c’est qu’il y a dix ans, nous faisions cela tous les soirs, et même des fois le matin, et même parfois le dimanche après-midi si nous étions seuls. Il pouvait même m’entraîner dans des coquineries qui me font rougir aujourd’hui, quand j’y repense. Ainsi, il arrivait qu’au cours de nos transports une envie soudaine me prenne de vider ma vessie. Il insistait pour m’accompagner, s’asseyant par terre, devant la cuvette, les jambes de part et d’autre. Je protestais : — Je ne peux pas si tu regardes !— Ferme les yeux, me répondait-il. Je finissais par lâcher mon petit pipi qui chantonnait gaiement. Luc regardait ma chatoune émettre sa cascade, puis il voulait m’essuyer lui-même et je le laissais faire, un petit peu honteuse mais amoureuse. Comme c’était bien, comme ça paraît loin… Le lendemain, en me remémorant toute cette soirée, me reviendra aussi le souvenir du fiasco que fut ma soirée anniversaire. J’ai même, pour la première fois de ma vie, des rêves un peu pornos, où un mec (mon mec ?) qui me montre son beau braquemart dressé, me dit en ricanant : « Celui-là, tu l’auras tous les 36 du mois !… » A ...
... quelques temps de là, je contacte à nouveau Clémence; elle ne peut pas me garder les enfants en cette fin de semaine, étant elle-même de sortie avec son chéri, pour un concert exceptionnel. Mais son frère Nicolas, me dit-elle, peut la remplacer, "Je vous l’envoie." De fait, le lendemain, coup de sonnette et j’ouvre à un grand garçon qui se présente: — Bonjour, Madame, je suis le frère de Clémence, je m’appelle Nicolas.— Ah oui ! Bonjour Nicolas, votre sœur m’a parlé de vous, entrez donc, je vous prie. Les enfants sont encore à l’école, mais nous allons faire le tour de l’appartement. Je sais qu’ils seront ravis d’avoir Nicolas comme nounou ; c’est un grand brun, mince, il avoue dix-huit ans, il a des yeux noisette très doux, comme son sourire. Il inspire la confiance par une attitude calme, à la fois sûr de lui et modeste. Comme nous traversions un cellier/débarras, entre deux portes, je me suis retournée un peu brusquement, pour lui dire je ne sais quoi. Il a été surpris et moi aussi : je me trouvais entre ses bras, presque sur sa poitrine, et il m’a saisie adroitement aux épaules pour m’empêcher de tomber ; et, sans doute impulsivement, il a embrassé mes cheveux, à la lisière de mon front : — Oh !… Excusez-moi, mais vous sentez si bon ! L’instant magique, vous comprenez ce que je veux dire ? J’avais son visage tout près du mien, j’ai flashé sur ses lèvres juvéniles, à peine ombrées d’un fin duvet, je l’ai embrassé. Oui, comme je vous le dis : je me suis haussée sur la pointe des ...