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Les fantasmes de Caroline (17)
Datte: 04/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Chapitre 17 : Un moment d’égarement et ses conséquences 1ére Partie Une semaine de vacances au bord de la mer ! Pas de boulot, pas de patron, pas de stagiaire. Juste mon mari pour de gros câlins et de bonnes baises ou il me prend sauvagement par devant ou par derrière et bien souvent attachée au lit pour abuser de mon corps à sa guise. Nous avons même emmené le nouveau gode ceinture que j’ai acheté pour le sodomiser, depuis que Serge et sa copine lui ont fait découvrir ce plaisir, il accepte que je lui défonce, moi aussi, son p’tit cul tout musclé. Il bande encore mieux, plus dur, et ça le fait jouir encore plus fort ! Par chance il fait un temps splendide et je peux me faire bronzer sur plage. Je suis en bikini, juste de la taille nécessaire pour ne pas risquer un attentat à la pudeur, mais bien sûr j’aime, j’adore qu’on me mate sur la plage. Voir des hommes avec leurs regards bloqués sur mes fesses et mes seins qui tentent de cacher leurs érections derrière leurs mains, ça me donne des frissons dans le bas ventre. Allongée sur la serviette, je retire discrètement mon petit haut qui soutien tout juste mes seins, pour bien bronzer sans marque sur mes seins, et je prends le soleil en étirant mes bras. Dès que mon mari part se baigner, le vendeur de beignets rapplique et reste un moment à me reluquer sous prétexte de me vendre un beignet. Pas trop loin de moi il y a quatre jeunes qui sans même se cacher me mate à fond, sans vergogne, avec des mimiques et gestes sans équivoque. ...
... Un des garçons fait des commentaires en me regardant et à la tête des autres qui se tournent vers moi je comprends à leurs gestes ce qu’ils se disent et …ce qu’ils feraient bien avec moi. Le plus dégourdi des 4 vient même me demander, de les prendre en photo avec son Smartphone. Il a un sourire si charmant que j’accepte et comme je suis sur le ventre je mets bien mon cul en l’air pour me relever. Son sourire devient rayonnant car il ne devait pas en attendre autant. Quand il vient vers moi pour reprendre son portable que je lui temps avec mes seins nus, il a du mal à les quitter des yeux. Il arrive à un articuler un merci en osant ajouter. — Vous êtes très belle Madame. Et votre maillot vous va très bien (tu parles). Je lui réponds avec un large sourire. — Merci, vous été gentil. Je le dirai à mon mari quand il reviendra. Lui, il ne se marre plus du tout en jetant un regard vers la plage et il me sort. — Non ! Madame ! Surtout pas ! Il a dû remarquer que mon homme est plutôt bien bâti et préfère sûrement ne pas avoir à faire à lui. Il semble hésiter puis prenant son courage à deux mains il me demande s’il peut prendre une photo avec moi. J’hésite aussi, mais Patrick a pris ses palmes et son masque et il doit en avoir encore pour un moment. Je regarde quand même si il n’arrive pas, on ne sait jamais. Je souris et je dis. — Ok jeune homme. Mais je suis un peu vieille pour un souvenir de vacances. — Oooh, non madame ! Vous êtes si sexy ! Pardon…trop belle et encore très jeune ! ...