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Les fantasmes de Caroline (17)
Datte: 04/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... je hurle! Il me bâillonne de sa main et de l’autre il retrousse ma jupe pour la plaquer sur ma chatte qui mouille déjà mon collant rien que d’entendre qu’il ne pense qu’à moi et qu’il a envie de me baiser. - Fermes-là! Tu mouilles déjà! J’en étais sûr ! Tu es forcément une belle salope pour te laisser mettre un doigt dans le cul sur une plage. — C’était juste pour m’amuser et te laisser un beau souvenir. Maintenant fous le camp et ne reviens plus ici. — Pas question, belle Dame, je veux te baiser et je te baiserais de grés ou de force! Nouvelle bagarre mais au bout de quelques minutes, il réussit, en s’asseyant sur ma poitrine, à ligoter mes mains avec la paire de bas qui séchait sur l’étendoir dans le salon et il les attache derrière mon cou, m’empêchant presque de respirer si je veux me libérer. — Arrêtez! J’ai une amie qui risque de passer me voir ! — Eh, bien, tu vas lui passer un coup de fil pour la prévenir que tu ne te sens pas bien. Il fouille dans mon sac, prend mon téléphone et… — Numéro, vite ! Je lui donne le numéro et quand ça sonne il me tend mon téléphone. — Et ne fais pas de conneries...tu pourrais le regretter! — Allo, Annie, c’est…c’est… Caroline. Je ne suis pas très bien. Je vais rester à la maison on remet ça demain…. — ........ — Non Annie, ne viens pas. Ça ira. Ça va passer, je vais prendre quelque chose (sic !) et je te tiens au courant. Il raccroche et le jeunot me regarde en souriant. — Parfait ! Salope et obéissante ! Je ne peux pas mieux tomber ! A ...
... nous deux ! — Nooooon! Vas te faire foutre! — C’est toi qui vas te faire foutre ma belle! Je me débats encore mais ce n’est pas très violent car j’ai les bras attachés dans le dos qui tirent sur mon cou. Je suis à moitié étranglée, je ne bouge plus, je cherche mon souffle. Il en profite pour filer au garage et en revenir avec une corde. Mon dieu que va-t-il faire ? Il me place au milieu du canapé sur le dos et à l’aide de sa corde il m’attache les chevilles aux pieds arrières du canapé m’écartant ainsi les jambes en V, me voilà offerte sans défense. Il se met à genoux devant moi. — Vous êtes quand même une belle salope pas de culotte sous votre collant transparent…huuummm fait il en me caressant la chatte puis en humant mon sexe tout en me caressant les cuisses. Quelle honte d’être ainsi soumise et humiliée par un jeune (presque) inconnu. Il ne faut surtout pas lui laisser l’impression que je suis sensible à ses attouchements. — Quand tu auras fini ton petit jeu de violeur…tu me détacheras et tu fermeras la porte en partant. -Bien…je vois que tu commences à comprendre. Je sens qu’on va s’éclater et que tu vas adorer, tu en redemanderas salope comme t’es. Curieusement il alterne le tutoiement et le vouvoiement. -Ben voyons, t’es bien jeune… tu ne doutes de rien. Il se redresse et debout entre mes jambes écartelées, il me caresse doucement mes cuisses encollantées. -Je ne vous ai parlé de ma copine Noémie, pour son âge c’est une vraie experte du sexe et elle trouve que je suis ...