1. De la noblesse et de bien belles fesses


    Datte: 05/02/2020, Catégories: fh, hdomine, vengeance, Oral pénétratio, fsodo,

    ... rien n’importait, si ce n’est ce membre si dur, cette force virile, qui allait et venait dans son cul. Il fallait qu’il poursuive, encore et encore, jusqu’à ce qu’elle atteigne ce paradis céleste qui enfin semblait accessible. Il fallait encourager son cavalier à poursuivre ses efforts, à y aller sans retenue. — Encore, Dranguard, encore… des fesses de reine réclament … la virilité d’un… roi!— Des fesses de reine ? Vous vous trompez Jaessa… Ce sont des fesses de putain, rien de moins. Mais des fesses sacrément bonnes, j’en conviens. Le mâle dominait, insultait, profitait de sa position. Et elle, après tout, ne faisait que rejoindre pour quelques instants ce rôle naturel de femme soumise. Ce n’en était que meilleur. Tout reviendrait dans l’ordre. Plus tard. — Et quand je vous dis que je vous encule, Jaessa, c’est au sens propre comme au sens figuré. Et l’un me fait autant plaisir que l’autre. Mais Jaessa ne prêtait plus guère attention à ses paroles. — Pendant que je vous encule comme la dernière des putains, le roi statue sur votre sort, Jaessa. Pour haute trahison. Alors qu’en guise de réponse, seuls des cris de jouissance aigus lui parvenaient, il poursuivit : — Ils statuent aussi sur le mien. Pour les services que je leur ai rendus, et le complot que j’ai déjoué. Ce n’est pas rien. Je n’aurai certes pas la chancellerie, mais au moins j’ai ma vengeance. Et un beau cul en prime. ...
    ... Jaessa ne prêtait plus aucune considération aux propos qu’elle entendait. Tout au plus criait-elle sous les coups répétés de Dranguard, sans savoir si c’était la douleur de ces violentes pénétrations anales ou la teneur de ces révélations qui en étaient la cause. Et l’envie de mener jusqu’à son terme ce plaisir sexuel dominait tout le reste. Mais il ne vint pas. Car le comte de Dranguard, lui, en avait pour son compte, et n’en finissait plus de déverser des centilitres de sperme en elle. Il se retira aussitôt qu’il en eut fini, et elle, se retournant vers lui, lui adressa un regard implorant. Elle en voulait encore. Oh si peu, juste quelques va-et-vient. Le paradis était si proche désormais. Mais pour toute réponse, le comte lui adressa un mince sourire empli d’orgueil, le dernier souvenir qu’elle put emporter de lui. En un rien de temps, des gardes étaient entrés dans la pièce, suivant visiblement un mécanisme parfaitement rôdé. Elle ne recouvrait ses esprits que bien trop tard, alors que toute résistance eût été vaine. Sa carrière était terminée. L’histoire de la duchesse de Kern fut avant tout une histoire de fesses. Des fesses qui firent fantasmer tout un royaume, du petit peuple jusqu’à la cour du roi. Mais des fesses que seuls deux éminents personnages purent se faire. Des fesses qui firent sa fortune tout d’abord, puis la perdirent. Telle fut l’histoire de la duchesse de Kern. 
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