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Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout (4)
Datte: 20/09/2017, Catégories: Hétéro
... alcool. Je crains le pire et pourtant m’interdit d’intervenir. J’essaye de me rassurer. Ce n’est pas possible tout va bien se passer. Et pourtant, la voilà dans ces bras. En train de se confier à un inconnu alors qu’elle ne me dit jamais rien. Je les vois danser, il passe sa main sur ses hanches, sur le haut de ses cuisses, remontant légèrement la jupe puis la relaissant descendre. Et moi je mate. Sa main caresse une de ses fesses. Elle blottit sa tête dans son épaule. Le voilà maintenant qui lui pelote les fesses doucement, il caresse sont dos, lui fait des bisous dans le cou. Elle apprécie. Il passe derrière elle, la tient par les hanches. Ils se dandinent sur un zouk, elle ses fesses contre lui. Il lui parle dans le creux de l’oreille, tout en l’embrassant dans le cou. Elle adore ça. Elle frissonne. Par-dessus son épaule il a une vue plongeante sur son décolleté. — Vous avez une poitrine magnifique Mathilde. Et joignant le geste à la parole, ses mains quittent les hanches de Mathilde, glissent sur son ventre et viennent se caler sous ses seins. Il les soupèse maintenant timidement. Un dans chaque main. Les pressent doucement. Elle ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Visiblement elle aime ça. Il déboutonne doucement son chemisier laissant apparaître son soutien-gorge où les tétons sont à nu. Délicatement, il les frôle qui durcissent instantanément. Puis, d’un geste habile, il fait glisser les bonnets sous les seins lourds de Mathilde. Ca a pour effet de faire ...
... bien remonter sa poitrine tout en la laissant libre de retomber par-dessus. Elle ne dit rien. Il commence alors à masser les seins de Mathilde tendrement. Il joue avec les tétons qui pointent comme jamais j’ai vu ça ? Ils sont vraiment bien sortis. Elle est vraiment excitée. Moi je commence à bander. Je n’en reviens pas et pourtant je suis fasciné impossible de bouger. — Que faisait ton mari pendant que tu suçais cet inconnu ? Il la tutoie maintenant. — Il me prenait dit-elle. — Tu as bien joui ? Dit-il en soulevant la poitrine qui je le vois s’agite de plus en plus rapidement. Il dépose de petits baisés dans le cou de Mathilde qui semble apprécier en inclinant légèrement la tête. Il presse les seins fermement attendant une réponse qui tarde à venir. — Oouii dit-elle dans un souffle court. Elle ferme les yeux au moment même où les mains de Bernard se referment sur ses seins. — Oui tu as bien joui petite coquine. Tu as aimé le sexe de cet autre homme dans ta bouche ? lui demande-t-il tout en pressant davantage ses gros seins. — Ouiiii... sa voix se fait plus troublée, haletante. Il lui parle toujours dans le creux du cou. Je sais qu’elle adore ça. Ca la rend folle. Je suis comme dingue devant ce spectacle, je bande comme un âne. Décidément l’âne me caractérise à merveille ce soir : — Ane bâté, — Bandé comme un âne, — Plein comme un âne. Un festival. D’un geste, il remonte sa jupe sur ses hanches dévoilant sa peau nue au-dessus de ses bas et son mini string et pendant qu’une main ...