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Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout (4)
Datte: 20/09/2017, Catégories: Hétéro
... comme jamais. Bernard est maintenant à fond dans son cul. Il attend un peu puis commence à ressortir. Crache dans le trou puis rerentre comme ça trois ou quatre fois. Je vois le trou du cul de Mathilde bien ouvert qui palpite. Il est magnifique. — Voilà, tu l’as bien dans le cul maintenant. — Hummm oui — Tu la sens bien ? — OUIII — Et maintenant je vais te ramoner ton gros trou du cul comme jamais on te la ramoné. Je vais te le refaire à neuf. Et il commence de tout son poids à percuter le cul de Mathilde. — AHHHHHHHHHHHH !!!!!! crie-t-elle — Ahhh tu vois. C’est bon de se faire défoncer le fion. setskkla — OUIIIII plus fort ouiiiiii — Tu vois que tu aimes ça. — OUIIIIII - Dis-le que t’aimes ça. — Ouiii j’aime ça, vas-y. — Maintenant tu peux te vanter d’être une belle enculée. — Ouiiiii — Tiennns, ohh putain je vais jouir. Il redouble de violence à la défoncer. Mathilde hurle de plaisir, griffant, mordant les coussins. Moi j’éjacule dans mes mains, alors que Bernard jouit dans le cul de Mathilde. Je m’éclipse doucement jusqu’à la chambre me ...
... débarrassant de ma semence dans un kleenex. J’écoute les derniers bruits dans la salle à manger. Sans savoir ce qui se passe réellement. Mathilde vient me rejoindre une heure plus tard. Je fais semblant de dormir. Il est 7h00 du matin. Je ne dors toujours pas. Je me lève. Mathilde dort profondément. Je retourne au salon, ça sent le cul à plein nez. Bernard est apparemment parti. Je m’assieds dans le canapé face à la scène des exploits de mon amour, je me sens vidé, dégoûté, anéanti. Je me repasse le film encore et encore, n’oubliant aucun détail, je bande et pourtant, j’ai envie de chialer. D’ailleurs ça y est. PS Entre le début de cette histoire et ce moment, il s’est passé environ quatre mois. En quatre mois j’ai réussi à foutre 20 ans de mariage en l’air. Enfin je crois. Mais si seulement ça s’était arrêté là. Rappelez-vous ce qu’elle me disait : — Méfie-toi !!! Qui sait ??? Une fois là-bas, tu me connais, si ça me plait, je vais être intenable et je voudrai y retourner même si ça ne te plait pas. — Tu m’as traité de tous les noms et je déteste ça. A suivre...