1. À la bibliothèque


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail école, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, extraconj, vêtements,

    ... bougea. — Il doit y avoir une sécurité lui dis-je. il ne te reste plus qu’à descendre. Ce qu’elle fit sans que j’aie seulement bougé et je me retrouvai avec sa jupe sur ma tête. — Excuse-moi, me dit-elle, et elle poussa son échelle de quelques cinquante centimètres et remonta. Je m’étais replongé dans mon travail mais, la curiosité étant la plus forte, je levai les yeux pour retrouver ce qu’elle me montrait et qui, ma foi, n’était pas désagréable. Manon et Marie étaient parties pour quelques jours, Marie ayant réussi à entraîner Manon à une réunion de lesbiennes militantes et surtout pratiquantes. Il y avait de grandes chances pour qu’elles me trompent car, d’après Marie, les soirées avaient pour but d’échanger les partenaires et surtout de prendre un maximum de plaisir. — Tu vas voir, on va s’éclater. Tu vas enfin savoir ce qu’est une nuit d’amour avec plein de filles rien que pour toi. Et moi je suis fière d’y amener la plus jolie des hétéros, expliqua Marie à son amante curieuse et excitée par cette aventure. Manon, et dans une moindre mesure Marie, avaient sollicité mon accord que, puisqu’elles y allaient ensemble, je ne pouvais que leur donner sachant que, puisqu’elles m’aimaient, elles me reviendraient. — On pensera à toi, mon Fred. Il me tarde de me retrouver entourée de vraies gouines qui détestent les garçons et qui ne pensent qu’à sauter sur d’autres filles, me consola Manon. Et à Marie : — On ne leur dira pas qu’on couche avec Fred, elles nous jetteraient ? Et ...
    ... puis, leur absence allait me permettre de travailler et surtout de me reposer. Mais déjà elles me manquaient. Elles me manquaient pour leur compagnie mais elles me manquaient aussi pour l’amour que je ne pouvais pas leur faire. Et c’est sûrement pour ça que ce que me montrait cette fille perchée sur son échelle ne me laissait pas indifférent. Ne m’entendant plus remuer des papiers, elle se retourna. — Tu as une jolie culotte, lui dis-je, ces mots m’étant venus sans que je pense à ne pas les prononcer tant mon regard était attiré sous cette jupe.— Elle est jolie, en effet, et je l’aime beaucoup, me répondit-elle, comme si je lui avais parlé de ses chaussures, et elle se remit à travailler comme si de rien n’était. Mais au bout d’un moment, comme si elle sentait mon regard, elle se retourna à nouveau. — Ça a l’air de te plaire ! me dit-elle.— Je n’aurais jamais imaginé que tu caches de si belles choses sous une jupe aussi sage, lui répondis-je, enhardi par son attitude. Elle se retourna sur l’échelle pour me faire face : — Et tu n’as vu que l’arrière, me dit-elle soulevant sa jupe et me présentant effectivement une vue encore plus agréable. J’aime beaucoup la dentelle transparente, ajouta-t-elle. Lève-toi et regarde de plus près. Ce que je fis sans me faire prier. Elle était descendue de quelques barreaux afin que mes yeux soient à la bonne hauteur. — Elle est en effet transparente ; on voit bien tes poils, reconnus-je. D’ailleurs ils dépassent sur les côtés, ajoutai-je. Et ma ...
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