1. À la bibliothèque


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail école, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, extraconj, vêtements,

    ... gâchait en rien sa beauté, de ce fait quelque peu androgyne. Pendant le seul essayage mon sexe était resté à peu près sage mais le fait d’avoir pensé à ses tétons l’avait réveillé. J’étais assis et mes mains parvenaient à le dissimuler. — J’aimerais bien que tu m’aides. Je veux bien faire le mannequin mais je veux que ce soit toi qui m’essaies les culottes. Viens ! me dit-elle, m’attrapant une main et me forçant à me lever. Ouahhh ! c’est moi qui te fais cet effet ? dit-elle, flattant mon sexe de la main. On continue, décida-t-elle. Enlève-moi celle-ci et passe-m’en une autre. Ce que je fis. Ces contacts avec sa peau, avec ces sous-vêtements, firent que mon érection s’amplifia. Je fis comme si de rien n’était puisque je me trouvais ici, et avec elle, comme dans un rêve. Nous verrions bien ce qu’il adviendrait. Le temps passait et je ne savais absolument pas comment me comporter. Que cherchait cette fille ? Sans doute attendait-elle que je lui saute dessus et, si j’avais écouté mon sexe, ce serait déjà chose faite mais, même si elle me faisait envie, je pensais à Manon et à Marie. Elles avaient sans doute moins d’états d’âme que moi et, les connaissant comme je les connaissais, je pensais bien qu’elles s’en donnaient à cœur joie, sautant, l’une comme l’autre sur toutes les filles qui ne disaient pas non. Et celles qui participaient à leur manifestation n’étaient pas venues pour dire non. — Je croyais que tu m’avais invité pour travailler, finis-je par lui dire.— C’est ...
    ... pourtant vrai, se contenta-t-elle de répondre. On y va, continua-t-elle, se dirigeant, vêtue d’une simple culotte et m’entraînant par la main, nu comme un ver, sexe érigé telle une antenne, vers son bureau. Tu vas pouvoir travailler dans cet état ? me demanda-t-elle regardant mon érection, où veux-tu que je m’en occupe ? Je ne répondis pas, aussi n’insista-t-elle pas. — C’est plutôt l’heure de manger, me dit-elle, nous travaillerons après. Et elle partit vers la cuisine où elle trouva de quoi nous régaler, elle toujours vêtue de sa seule culotte et moi, totalement nu. Elle semblait n’éprouver aucune gêne à évoluer devant moi dans cette tenue et, pour ma part, naturiste convaincu, je trouvais ceci quasiment normal car les parents nous avaient habitués ainsi. Sauf qu’il ne m’est jamais arrivé d’évoluer chez nous avec le sexe en érection, comme il l’était aujourd’hui. Le repas terminé, nous nous mîmes à travailler, toujours dans la même tenue, mon sexe ayant repris une position plus décente. J’étais assis et découvrais les documents qu’Anne-Lise me présentait, se penchant sur mon épaule, sa poitrine contre mon dos. Ébloui par ses trouvailles je ne pensais pas au côté tant soit peu érotique de la situation et la soirée se poursuivit fort tard. Me rendant compte de l’heure je manifestai, me levant, mon intention de rentrer. — Personne ne t’attend, m’as-tu dit. Reste dormir avec moi, on retournera demain ensemble à la bibliothèque, demanda-t-elle. Pourquoi pas, me dis-je. Mais je pris ...
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