La conspiration du climatiseur
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... me détendre, d’avoir des pensées angélique, mais mon imagination dérive toujours. Je repense à ses beaux yeux marron, à son regard fixant ma poitrine un peu plus tôt et à ses mains. Ses belles, fortes et grandes mains. Ce songe me ramène à mon activité après ma douche et mon bas ventre m’envoie une vague de chaud qui me coupe le souffle. C’est naturellement que mes mains trouvent le chemin qui rejoint mon imagination. Ma main gauche se pose sur mon sein et le malaxe doucement. Quand je sens la vague persister, je pince mon téton et ma main droite glisse vers mon entrejambe. Quelques caresses suffisent à me faire mouiller et mon index se place avec familiarité sur mon bouton. Je me touche avec un peu plus de vigueur de seconde en seconde et entendre la respiration d’Alban à quelques mètres de moi ne fait que m’exciter encore plus. Je sais qu’il faut que je fasse le moindre bruit possible, car chaque gémissement pourrait le réveiller, mais il est trop présent dans mon imagination et le plaisir est trop intense. Mon clitoris est gonflé et le contact de mes doigts m’emmène vers une jouissance plus importante que prévue. C’est malgré moi je lâche un cri de contentement profond. Sentant immédiatement à quel point ce que j’ai fait est stupide, je me dépêche de remettre dans une position descente pendant qu’Alban sort de son sommeil. Il se tourne et allume sa lampe de chevet en me regardant pendant que je cache désespérément mon embarra. - Ça va Alice ? Qu’est-ce qui s’est passé ...
... ? Je t’ai entendu crier… et tu trembles en plus. Tout va bien ? Ne sachant pas quoi répondre et étant embarrassée au possible je bafouille quelques phrases avant de lui sortir la première phrase qui me vient à l’esprit. - Oui, oui, ça va… J’ai… euh… J’ai fait un cauchemar. Je suis désolée, je ne voulais pas te réveiller. Ça ne se reproduira plus, désolée. Etant complètement gênée, je me retourne dos à lui et je relève bien la couette jusqu’à mon visage. Il éteint la lumière et je l’entends se rallonger. - Ne sois pas bête, me dit-il doucement, ce n’est pas ta faute, tu ne peux pas contrôler tes rêves. Et puis je vois bien que tu es gênée et que quelque chose ne va pas. Je ne lui réponds pas, ne sachant pas où me mettre avec ce qu’il s’est passé. Quelques minutes s’écoulent puis Alban murmure : - Tu sais, si tu as peur de te rendormir, tu peux venir te glisser dans le lit avec moi. Je m’assurai que tu passes une bonne nuit. Enfin… tu sais… pour qu’on dorme bien et qu’on soit en forme demain quoi. Mon cœur manque un battement et mon cerveau s’arrête de fonctionner. - Vraiment ? Je lui réponds, lui donnant une chance de se rétracter. - Bien-sûr, je ne voudrais pas que tout le monde est une intoxication alimentaire alors que tu me laisses dormir dans ta chambre. J’entends son sourire dans sa voix, alors j’accepte, tout timidement sa proposition. J’attrape un oreiller et je me glisse dans son lit, à peine assez grand pour nous deux. Je me mets dos à lui, en cuillère, puis il me ...