1. Doucement, nous avons tout notre temps


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, ascendant, Inceste / Tabou bain, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, fsodo, init,

    ... que j’ai senti quelqu’un derrière moi, des mains se posèrent sur mes hanches. Un peu surprise, je me suis retournée et je vis une superbe fille, mais à la beauté très spéciale. Elle était blonde, les cheveux courts, très abondants, formant sur sa tête comme les vagues d’une mer déchaînée. Ses cils fins de blonde étaient longs encerclant ses yeux sombres, son nez était délicat aux narines qui palpitaient à certains moments, au-dessus de lèvres fines et sensuelles, qui lorsqu’elles s’ouvraient laissaient voir deux rangées de perles d’une blancheur d’ivoire. Il émanait d’elle une assurance très masculine, tout en exprimant une grande féminité. C’est peut-être cette gynandrie qui me troubla le plus chez elle. Si elle avait été plus femme, sans cette once de masculinité, je ne suis pas certaine que je me serais laissé emporter comme je l’ai fait. Peut-être, tout en sachant bien que j’avais face à moi une femelle, je voyais en elle le côté mâle. Son corps souple et fin ondulait sensuellement au son de la musique. Chacun de ses mouvements animait le roulis de ses hanches et le balancement de ses seins libres sous sa tunique. Nous avons continué à danser l’une devant l’autre sensuellement. Peu à peu nos corps se sont rapprochés, se sont frôlés. Je me sentais comme aimantée par cette fille, attirée inexorablement vers elle. Ses yeux m’hypnotisaient littéralement. Elle avait des yeux extraordinaires, foncés et brillants à la fois. Ils agissaient sur moi comme des sirènes qui attirent ...
    ... le navigateur imprudent par leurs chants mystérieux. Elle usait habilement de son regard, imposant son pouvoir sur les hommes comme sur les femmes. Je ne pensais plus à rien, ni à mon copain qui devait me regarder dans la salle, ni à ces homosexuels hommes et femmes qui nous entouraient, ni aux autres couples lesbiens qui évoluaient sur la piste, ni aux autres filles qui se collaient les unes aux autres. La danse suivante ne fit que nous rapprocher un peu plus, puisqu’il s’agissait d’un slow langoureux. Je sentais les seins de ma cavalière contre les miens. Elle dégagea son visage de mon cou pour m’embrasser furieusement. Je répondis tout de suite à son baiser, nos langues se rencontrant, nos salives s’échangeant. J’étais transportée vers Cythère en passant par Lesbos. Lorsqu’elle me prit par le bras et m’emmena chez elle, je n’ai pas protesté. J’en étais incapable. Dans son petit studio, à la fois cuisine, pièce à vivre et chambre, elle se déshabilla. Son corps dévoilé en pleine lumière était sublime, à la fois fin et voluptueux par ses rondeurs. Ses seins étaient fièrement dressés, bien plus imposants que les miens sans être énormes, assez proche de ceux de ma mère, avec la fermeté de la jeunesse en plus. Ses fesses étaient musclées, ses hanches fuselées, le ventre plat. On voyait qu’elle aimait entretenir son corps, pratiquant certainement du sport. Au niveau de son sexe, il ne subsistait pas un seul poil, laissant apparaître sa fente, d’où, lorsque l’excitation montait, ...
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