1. Doucement, nous avons tout notre temps


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, ascendant, Inceste / Tabou bain, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, fsodo, init,

    ... sortaient les petites lèvres vaginales gorgées de sang. — Tu ne te déshabilles pas ? La voix de la jeune fille qui se tenait nue devant moi et dont je ne connaissais même pas le prénom me tira du songe dans lequel j’étais tombé. — Tu n’es pas pudique j’espère ?— Non, non, absolument pas… Mais tu es si belle. Comment t’appelles-tu, moi c’est Cindy.— C’est vrai, on ne s’est même pas présentés, moi c’est Karine. Ce n’est pas nécessaire pour baiser, mais si ça peut te rassurer. Je me suis déshabillée rapidement et nous avons été nues l’une en face de l’autre. Nous visualisions les courbes de nos corps. J’avais l’impression, malgré nos différences, de me regarder dans un miroir. Je n’éprouvais aucune pudeur ou gêne devant Karine et pourtant je tremblais comme une feuille sans que je puisse en expliquer la cause. La première fois que j’avais fait l’amour avec un garçon, mon appréhension et ma tension n’avait pas été si intense. Mes premiers émois saphiques avec ma cousine m’avaient fait connaître les délicatesses des tribades et que mes grands-mères soient lesbiennes me faisait accepter les rapports entre filles. Aussi n’éprouvai-je aucune répulsion pour ce corps féminin. C’est avec facilité et naturel que je le regardai : je le trouvai beau, attirant, sublime. Je ne pouvais ignorer les intentions de Karine, et cela non plus, ne me perturbait pas. Car ma morale était totalement absente de cette configuration ; le bien ou le mal en matière de sexualité étant très flous dans mon ...
    ... esprit. Si forniquer avec un garçon ne me posait aucun problème, je ne voyais pas plus de difficultés à faire l’amour avec une personne de mon sexe. La sexualité entre deux filles n’était pas une découverte en tant que concept et de passer le pas ne se révélait pas être une conflagration. Non, rien ne me permettait d’avoir cette angoisse qui me nouait le ventre. — Rassure-toi, Cindy. C’est la première fois ?— Oui, avec une fille, je n’ai jamais connu. Avec une cousine, on s’est embrassées et caressées, mais sans aller plus loin.— Si tu veux, je vais te faire éprouver des sensations nouvelles. C’est toi qui décides. Veux-tu que je continue ?— Oui, Karine, fais-moi découvrir.— Alors, laisse-toi faire ma chérie. Laisse-toi aller. Elle m’embrassa avec fougue tout en me caressant les seins. J’ai eu, dès cet instant, une première vague de plaisir. Elle me regardait, avec ses yeux si mystérieux. Maintenant que je les voyais en pleine lumière, leur couleur était sombre, mais avec des reflets verts, comme s’il y avait des paillettes d’or dans son iris. Elle vint me lécher la poitrine, le pourtour des seins jusqu’à leurs pointes déjà érigées. Je la laissais faire appréciant beaucoup cet attouchement. Elle prenait son temps, considérant mon corps comme un laboratoire. Elle suçait mes seins tandis que ses mains descendaient le long de mon corps. Instinctivement, j’ai ouvert largement les jambes comme je le faisais avec les garçons, perdant toute retenue et toute pudeur (s’il m’en restait) ...