L'oubli (3)
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
Hétéro
J’hésite quelques secondes à poser la main sur la généreuse poitrine de Nathalie mais je renonce. Je dis : — Il vous a également offert la guêpière ? Le sourire de Nathalie a, me semble-il, quelque chose de pervers : — Oui, en rouge… — Et le string ? — Oui… — Faites le voir. Elle n’attendait que ça. Nathalie décroise les jambes, ouvre sa robe au niveau de ses hanches et dévoile le fin string, tout en gardant les jambes serrées. Regards. — Je ne vois pas bien… La belle dénoue légèrement la ceinture de tissu, rajuste les pans de la robe et vient poser son pied droit sur le banc, ouvrant largement la vue sur son entrejambe. Je me déplace légèrement afin d’être en face. Je n’en reviens pas : le triangle de tissu transparent est empli d’une toison strictement taillée d’un noir intense au bas de laquelle luit une tache blanchâtre. Nathalie mouille comme une folle. — Donnez-le moi. — Oh mon Dieu, Florent ! C’est… Je ne peux pas… — Si. Vous le pouvez. Donnez-le moi. — Mon Dieu… Lentement, Nathalie redescend la jambe du banc, en veillant à ce que sa robe ne s’ouvre pas plus qu’à mon regard. Elle se dandine doucement pour retirer son string qui glisse le long de ses jambes. Elle me le tend. Il est dans un état déplorable. Trempé de cyprine, il dégage une odeur aussi forte qu’entêtante. Je le porte à mes narines et le parfum me fait tourner la tête. N’y tenant plus, je lèche puis suce le tissu au goût très âcre avant de le mettre dans ma poche. Nathalie me regarde, intéressée. Elle ...
... rouvre ses jambes en remettant son pied sur le banc et pose sa main sur son entrejambe. Je lui dis : — Je vais venir chez vous, Nathalie… Elle ne répond pas. — Je vais venir chez vous et nous allons faire l’amour. La main de Nathalie commence à bouger sur son sexe. — Je vous déshabillerai lentement avant de vous embrasser, vous caresser, vous goûter. Je vous comblerai avec mes lèvres et ma langue, mes mains et mes doigts. Ceux de Nathalie glissent subrepticement dans sa fente humide avant de remonter exciter son clitoris. — Vous me sucerez… Vous aimez la fellation, n’est-ce pas ? — Mmmhhh… — Dites-le… — J’adore ça, j’adore sucer… Ça me manque tellement… Je la laisse monter encore un peu. Ses doigts s’activent de plus en plus vite. — Je glisserai ensuite en vous, à l’écoute du moindre de vos désirs. Je serai douceur si vous le souhaitez. Je vous pénètrerai en cadence si tel est votre envie. Je pourrai aussi me faire vigueur… — Ooooh… Nathalie est au bord de l’orgasme. — Votre désir ? Elle murmure : — Levrette… vigoureuse… Elle gémit soudain plus bruyamment et frissonne, comme parcourue d’un coup de froid instantané. Elle serre les jambes, la main toujours posée sur son sexe. Les yeux clos, elle vient de prendre un pied gigantesque. Quelques instants plus tard, elle rouvre les yeux, me sourit et rabat les pans de sa robe sans la fermer. — Je crois qu’il est temps que j’y aille. Je reprends à 13h30. Je regarde ma montre. — En effet. — Vous avez quelque chose à moi… — J’aimerais vous ...