L'oubli (3)
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
Hétéro
... le remettre moi-même. — Cela me parait compliqué de le faire ici. Je regarde alentours et je constate qu’elle fait de même. Nous repérons presque simultanément une benne de chantier bleue, située le long d’un champ à une cinquantaine de mètres. Nathalie se lève, noue plus fermement la ceinture de sa robe et dit : — Vous venez ? Je suis la brune et nous nous glissons derrière la benne. Elle pose son sac par terre et me fait un clin d’oeil. Je m’approche et dénoue lentement la ceinture. La robe s’ouvre entièrement. La tension est palpable. Nathalie a toujours les seins dénudés. Je prends le string dans ma poche, le déplie et le sens une dernière fois. Nathalie rit. Je me baisse et elle lève un pied puis l’autre pour les passer à travers les ficelles de la torride étoffe. Je la remonte lentement le long de ses jambes jusqu’à ses hanches. Je l’ajuste sur sa toison, non sans caresser très délicatement son entrejambe. Elle sourit. Nouveau clin d’oeil. jhnjzzkd Je lui demande de se tourner. Elle obéit avec un plaisir non dissimulé. Après avoir passé la robe d’un côté, je règle le dos du string dans l’axe de la raie de ses fesses avant de glisser lentement mon doigt le long de la ficelle. Douce pression sur son anus, Nathalie souffle. Remontant ensuite les mains sur ses flancs, je me rapproche jusqu’à me coller à elle. A travers ...
... mon pantalon, mon sexe dur appuie contre ses fesses. Je l’embrasse dans le cou et passe mes bras sous les siens pour remettre ses seins dans leurs coques. Alors que je vais retirer mes mains de sa poitrine, Nathalie les retient et tandis que je la pelote, elle frotte vivement son cul laiteux contre mon pantalon. Je tente ma chance et la tutoie : — Dans une semaine jour pour jour, tu prends congé et tu ne dis rien à ton mari. Le matin, tu te prépares normalement et tu viens chez moi. — Et… ? — Je t’organise une journée de rêve. — Dis-m’en plus… — Sexe, massages, sexe, bains, sexe, bon petit plat, sexe, relaxation, sexe… Tu peux ajouter tout ce que tu désires… Alors qu’elle se frotte de plus en plus vivement, je m’écarte lentement et la tourne. Je reboutonne sa robe et noue la ceinture. Je sais qu’elle est frustrée et c’est exactement ce dont j’ai envie. Je me penche, ramasse son sac et, en me dirigeant vers la sortie du parc, je lui dis : — Vous venez ? Nathalie vient à ma hauteur et nous marchons côte à côte jusqu’à sa voiture sans mot dire. Nous nous enlaçons au moment de nous quitter et je lui donne mon numéro de téléphone. Je ne prends pas le sien. Nous nous faisons tendrement la bise et j’attends que Nathalie reprenne la route. En retournant au travail, je me dis que finalement, il y a des oublis qui ont du bon. FIN