1. Mardi 5 octobre - Dimanche 10 octobre


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fh, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, fsodo,

    ... de mon sperme sur ses lèvres, et me murmure : "Ben mon salaud, toi qui disais qu’il fallait faire doucement la première fois, tu n’y es pas allé de main morte ou plutôt de queue morte." — Cela ne semblait pas te déplaire. Tu tendais tes petites fesses pour que ça rentre bien à fond… Je dirais même plus : tu avais l’air de vachement apprécier de te faire exploser le cul. Elle rougit en me répondant : — C’est vrai que j’ai pris mon pied pendant que tu m’enculais, et deux fois en plus. Après ce que m’avait raconté ma copine, je n’imaginais pas que c’est aussi bon par-derrière que par-devant. En l’entraînant vers la salle de bain, je lui réponds que tout le monde n’a pas cette chance. En voyant sa démarche, je m’inquiète si ça va. — J’ai les jambes coupées.— Et ton… derrière ?— Un peu sensible, mais ça va. De retour dans la chambre, le temps de ranger le matériel photo, Véronique dort déjà. Vendredi 8 octobre : Sage découverte de Lyon Nous nous réveillons frais et dispos. Véronique ne se ressent pas l’inauguration de la veille. Aujourd’hui nous donnons dans le culturel. Nous visitons le vieux Lyon et ses traboules ainsi que la cathédrale Saint-Jean et le Musée Gadagne, avec déjeuner dans un bouchon. Nous rentrons le soir sur les rotules, expédions le dîner et nous couchons pour plonger directement dans le sommeil. Samedi 9 octobre : Sage découverte de Lyon (bis) Nous continuons nos déambulations lyonnaises. Je pensais que Véronique se lasserait de ces visites culturelles, mais ...
    ... elle se montre passionnée, elle en redemande. Pour elle, cela a l’air d’être une révélation. Au programme, le Musée des beaux arts et la basilique Notre-Dame de Fourvière. Au cours de notre promenade, Véronique, que cela doit travailler, revient sur son passé agité. Elle fait une véritable confession, elle tient à ne rien me cacher de ses parties de jambes en l’air. Les sentiments y avaient peu de place, c’était plutôt de l’utilitaire. Pour la faire exorciser son passé, je la laisse parler et même l’y encourage. Elle me le raconte par le menu. Cela se résume assez facilement. Elle n’a pas connu son père. Sa mère changeait d’amant à un rythme soutenu, certains n’étant visiblement là que pour arrondir les fins de mois. Véronique n’avait pas douze ans qu’elle devait repousser l’avance de certains de ces messieurs, sans que cela trouble sa mère outre mesure. Et les copines de sa mère étaient du même tonneau. Je comprends que se servir de ses charmes pour mettre du beurre dans les épinards, ou arriver à ses fins, ou obtenir quelque chose, lui ait semblé naturel. Seuls les séjours chez le mari de sa mère avec ses demi-frères et sœurs étaient des rayons de soleil dans cette vie. Mais ce qui la taraude le plus, c’est cette fille qui s’est faite violer par ses copains. Elle s’étend longuement sur le sujet, sans mauvais jeu de mots. Surtout qu’après la malheureuse a mis pas mal de temps à récupérer physiquement et plus encore psychologiquement, si tant est que de ce point de vue-là elle ...