1. Mardi 5 octobre - Dimanche 10 octobre


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fh, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, fsodo,

    ... ait pu complètement. Voir son copain se faire tabasser, se faire tabasser soi-même et ensuite se faire limer, devant le copain, pendant plus de deux heures par quatre types se relayant sans interruption, on serait perturbé à moins. Je crois que Véronique sera toujours hantée par ce souvenir. Je l’aide du mieux que je peux, non pas à oublier, mais à assumer ce passé, pour ne qu’il ne la détruise pas, maintenant qu’elle voit la vie avec un autre œil. De retour à la maison, après le dîner Véronique commence à préparer son bagage, car demain matin, elle reprend le chemin de Paris, moi-même restant à Lyon, mes cours commençant lundi. Après maman, nous téléphonons aux sœurettes et bien sûr encouragée par Gwendoline, Véronique narre par le menu l’inauguration de son petit trou. Ce récit l’a émoustillée, moi aussi, je dois bien l’avouer et malgré la fatigue, cette dernière nuit nous jette dans les bras l’un de l’autre. Après de longs baisers je lui bouffe la chatte. J’insiste longuement, titillant son bouton, enfonçant ma langue en elle ou en donnant de grands coups le long de ses lèvres, m’égarant parfois un peu plus bas. Ses jambes se sont ouvertes au maximum, et son ventre s’est tendu vers la caresse. Son sexe est éclos comme fleur au soleil. Point n’est besoin de lire dans son esprit pour savoir qu’elle apprécie. Elle se retient de manifester trop bruyamment son contentement. Elle est agitée de frissons, son bassin roule. Après un spasme de jouissance encore plus puissant, tout ...
    ... son corps se détend. Elle n’en puits mais et repousse ma tête pour éloigner ma langue de son clito trop sensible. Je m’allonge à côté d’elle. Elle se blottit dans mes bras, nous échangeons un long baiser avant que le sommeil la terrasse. Un peu sur ma faim, j’ai plus de mal. Je me lève doucement, pour aller me débarbouiller et me rafraîchir. Une fois de retour dans le lit, je bouquine un peu avant de m’endormir à mon tour. Dimanche 10 octobre : Départ Je suis réveillé par Véronique de la plus agréable des manières. Elle s’est emparée de mon sexe pour le pomper consciencieusement. Il se met au garde à vous. Je la laisse œuvrer. Elle suce, elle pompe, elle lèche, n’hésitant pas également à mettre la main à la pâte. Et elle le fait avec conscience et ardeur. Je suis tendu à bloc. Les minutes passent, sans qu’elle montre le moindre signe de fatigue ni de relâchement, moi par contre je finis par arriver à bout de résistance. Je l’avertis. Elle continue impassiblement. Ce qui devait arriver arrive, je lâche la sauce blanche au fond de sa gorge. Elle poursuit imperturbablement, marquant à peine un temps pour avaler. Je ne débande même pas. Quand elle lâche le morceau, c’est pour prestement m’enjamber et venir se le mettre au fond de la chatte. Elle monte et descend sur ma hampe à un rythme soutenu. Ses nichons s’agitent sous mon nez, ou plutôt au-dessus de mon nez, je m’en empare. Après les avoir simplement cajolés, je passe à un traitement plus vigoureux, les malaxant, pinçant et ...