1. Mardi 5 octobre - Dimanche 10 octobre


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fh, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, fsodo,

    ... chez Maman pour que je lui dise au revoir. Parenthèse, ce sont les sœurettes qui pendant ma convalescence lui ont présenté Véronique. L’explication que j’ai eue avec elle par la suite n’a pas été simple, mais elle a fini par accepter la situation. Nous dînons avec elle avant de rejoindre la gare. Après avoir longuement embrassé les deux sœurs, je rejoins avec Véronique nos cabines. Après de rapides ablutions, je la retrouve. Nous nous regardons, d’un même mouvement nous avançons et nous enlaçons pour un long baiser. Elle est palpitante dans mes bras. Je ne sais combien de temps s’est écoulé quand nous nous séparons pour nous déshabiller réciproquement. Comme je vais la reprendre dans mes bras. Je sens une gêne et l’appréhension qui la gagne, elle a un mouvement de recul. Je lui demande ce qu’elle a, elle me répond : — Tu n’es pas le premier. Pour l’apaiser, j’essaie de répondre avec humour : — Tu sais, tu n’es pas la première non plus.— Ce n’est pas pareil.— Je ne vois pas pourquoi. Elle me regarde avec des yeux de biche aux abois : — À Saint-Denis, j’ai une réputation de baiseuse.— Tu sais, les réputations…— Elle est justifiée. Je vais pour répliquer, elle me pose la main sur la bouche : — Non ! Il faut que je te dise. Je sens qu’il vaut mieux la laisser vider l’abcès qui la ronge. — J’ai commencé à baiser à quatorze ans et ce n’était même pas par amour, mais pour me venger, en lui piquant son copain, d’une fille de dix-sept ans qui s’était moquée de moi. Ça a duré moins de ...
    ... trois semaines. Après il y a eu deux garçons, un qui me faisais mes devoirs et me filait les réponses pendant les interros de français et l’histoire-géo, l’autre faisait pareil en math et en anglais, il y avait aussi un pion pour qu’il me fasse sauter des absences. Chaque fois que ça pouvait m’être utile je me servais de mon cul. Quand je me suis tirée de la maison, c’est comme ça que j’ai convaincu le proprio de me loger et j’ai jamais payé un flash. Mon premier employeur m’a engagée plutôt que les autres filles pour la même raison. Dans un autre job, quand le surveillant m’a surprise à piquer dans la caisse, il m’a traînée chez le gérant. Je me les suis faits tous les deux… en même temps, pendant que l’un me sautait, je suçais l’autre, ils échangeaient leur place de temps en temps et je n’ai pas été virée. C’était la première fois que je le faisais avec plusieurs à la fois. Il y en a eu d’autres. J’ai été jusqu’à quatre en même temps. Mais là, ça faisait beaucoup, j’étais sur les genoux à la fin, j’avais mal aux mâchoires et la chatte en compote. C’était pour qu’ils rossent un gars qui s’était moqué de moi. Avec sa copine ils me regardaient de haut. Même si c’était vrai que j’étais une pouffiasse et une salope qui se faisait tirer à tout va, ils n’avaient pas à m’humilier et me traiter comme une sous-merde en plein milieu de la rue devant plein de gens… Surtout que je ne leur avais rien fait et que je ne leur demandais rien. Des larmes perlent de ses yeux. Je me retiens de ...
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