1. Mardi 5 octobre - Dimanche 10 octobre


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fh, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, fsodo,

    ... l’interrompre, de la serrer contre moi, même de poser une question, sentant qu’il faut qu’elle aille au bout de sa confession. — On n’a pas le droit de rabaisser les gens comme ça, juste pour s’amuser et faire rigoler la galerie… Je hochais simplement la tête pour lui permettre de continuer à se libérer. — Ils allaient souvent au cinoche le soir, quand j’ai su qu’ils y étaient, j’ai prévenu les copains et on les a guettés sur le chemin du retour. Ils les ont chopés dans un terrain vague. Il y en a un qui a neutralisé la gonzesse en lui filant quelques beignes et lui fourrant un chiffon dans la bouche pour lui clouer le bec, pendant que les autres foutaient au gars sa dérouillée. Mais après… ils ont fait sa fête à la fille. Je l’avais pas prévu. Qu’elle prenne deux ou trois claques d’accord, mais ça non. J’ai voulu les arrêter, mais je pouvais pas me montrer. J’ai sifflé pour les faire rappliquer, y en a qu’un qui est venu voir et qui m’a dit d’arrêter mon cinéma pendant qu’ils finissaient le travail, sinon ils avaient encore des baffes en réserve pour me remettre les idées en place. Ils lui sont tous les quatre passés dessus… plusieurs fois chacun. Ils avaient bâillonné et attaché le gars à un poteau et l’avaient installé pour qu’il voie le spectacle. Ça a duré près de deux heures. Quand ils l’ont enfin laissée, entièrement à poil, ses vêtements étaient complètement en lambeau, elle avait les lèvres fendues, un cocard à un œil, des bleus sur la poitrine et dégoulinait de ...
    ... foutre. Elle a mis au moins un quart d’heure avant de pouvoir se traîner et détacher son copain. Je voulais qu’on leur donne une petite leçon mais pas plus. Jamais j’aurais pu demander qu’on fasse ça à une fille, j’en suis une, moi aussi. J’ai toujours regretté ce qui était arrivé. Je m’en veux encore. Tu sais, avant de demander à Paulo, Ahmed et Jeannot de te corriger, j’ai vachement hésité, je voulais pas revivre ça encore une fois. Mais le patron de Carole a fait monter les enchères et j’ai pas pu résister à la tentation de tout ce fric. Mais aux gars je leur ai fait la leçon. Il ne devaient en aucun cas toucher la fille qui t’accompagnait, sinon ils n’auraient pas un sou. Quand tu lui as dit de se barrer et qu’elle a obéi, j’ai été vachement soulagée. J’ai gueulé aux gars de ne pas s’en occuper, que c’était toi qu’il fallait avoir. Après tu sais ce qui s’est passé. Elle s’arrête de parler, elle est en pleurs. Ce n’est plus de l’appréhension qui se dégage d’elle, mais de l’angoisse. Je vais pour la prendre dans mes bras, elle me repousse : — Je ne dois pas, ce n’est pas possible.— Tu ne dois pas quoi ?— Toi et moi.— Et pourquoi ?— Tu es trop bien, trop gentil pour moi. Je n’ai pas été franche avec toi, je ne t’ai pas dit que…— Arrête ! Est-ce si important ce que tu as fait ?— Je me suis conduite comme une pute, toujours prête à baiser ou à sucer, dès que ça pouvait me servir, me rapporter ou me venger.— Tu as fait ce que tu as pu pour surnager.— Toutes les filles ne se font ...
«1...345...12»