Dame Erika (18)
Datte: 20/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Chapitre 18 : La générale ÉLISE Après cette journée de folie où nous avons donné du plaisir à Dame Erika, perso, j’aurais bien aimé être à sa place, vu ce qu’on lui a mis. Au bout d’un moment, elle devient un peu casse-pieds, avec ses « Je veux ci ! Je veux ça ! Je vous emmène voir le magicien, je ne vous emmène plus, si vous faites ci et faites ça ! » Ça devient pénible à la fin, et peut-être que son histoire de magicien, c’est du pipeau. Maintenant, je dois avouer que rester à poil quasiment toute la journée, se faire tripoter, sucer, baiser, comme on le fait, j’adore. Donc, si on restait ? Une bonne nuit ; je suis en pleine forme. Un bon petit déjeuner, un bon bain avec Tina : le pied ! Ce bain, nous l’avons pris ensemble. La foufoune, elle est nickel propre : léchée, sucée et tout et tout, après l’avoir rasée de près. Il est bien évident que nous ne pouvons pas commencer la journée sans nous faire de petites gâteries. Comme nous avons à notre disposition de l’eau et du savon doux et parfumé, nous nous sommes lancées dans un exercice – un peu douloureux au début – mais qui au bout d’un moment d’adaptation et d’entraînement intensif s’est avéré très, très agréable, et même orgasmique : j’ai nommé le fist vaginal ! Oh, comme cela était bien ! Oh, comme c’était bon ! Quel orgasme ! C’est Tina qui en a eu l’idée c’est donc elle qui a servi de cobaye. Je lui ai tout d’abord rasé la minette de près, sans la couper, car se raser avec un coupe-chou, il ne faut pas se louper ! Je ...
... me suis savonné la main avec soin, et maintenant je commence à lui introduire un… deux… trois… quatre doigts. Elle gémit, la pauvre petite ; elle me fait des « Hum… », des « Oh, la vache ! » Un cinquième doigt, et là « Ouille-ouille-ouille ! » Je savonne avec douceur ma main à demi enfoncée – avec moi, c’est toujours avec douceur – puis je force, un peu, et encore un peu. Elle respire fort, gémit aussi. — Tina… Ça ne rentre pas ! — Vas-y, je te dis ça va rentrer ; je suis certaine que si. Force un peu, bordel ! OK. Je force, mais je pense que ça doit faire mal. Comme ma main refuse de rentrer, aux grands maux les grands remèdes ! Je lui passe mon bras sur le haut de ses cuisses, agrippe le tout, mes miches contre ses fesses, m’arcboute et force. Pas longtemps, en fait : ça rentre tout seul. Elle crie. La vache, j’ai ma main entière à l’intérieur de son con, oh con ! comme dirait Pat. Je caresse cet intérieur doux et délicat – tu m’étonnes que les mecs prennent leur pied quand ils ont leur bite là-dedans ! – je tourne mes doigts. Où est donc ce fameux point G ? Ah oui, mais j’ai la main à l’envers. Demi-tour. Elle couine toujours, ma choupinette de Tina ! Je cherche. Comment il est foutu, ce point G ? Je ne le trouve pas. C’est fait comment ? On parle toujours de bouton, mais il n’y a pas de bouton là-dedans ! Je cherche, quand tout à coup son vagin se contracte et la voilà toute secouée ; et pourtant je n’ai touché à rien. Les dents serrées, elle crie. C’est chouette, j’ai ...