Dame Erika (18)
Datte: 20/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... se vident, les braies se remplissent d’organes masculins visiblement intéressés par la situation. Les foulards-soutien-gorge volent au vent au-dessus de nos têtes en faisant le tour de la salle en courant. Au service suivant, c’est topless que nous présentons les plats face aux convives, pour que chacun puisse se servir tout en se rinçant l’œil. Une valse endiablée nous fait perdre notre minijupe, si c’est le terme. Sara hurle presque « Vous aimez nous toucher ? Moi j’aime ! Alors touchez-nous ! » Dame Erika est surprise par le minuscule triangle qui couvre à peine notre intimité. Ses mains précèdent toutes celles qui vont tester la qualité du tissu qui, arrivé en fin de service a complètement disparu. Comme le string des garçons, d’ailleurs. Sur scène, les artistes n’ont guère de succès ; nos fesses et nospubis, si ! Les plats défilent toujours, et les mains se font de plus en plus curieuses. Un des convives me doigte au moment où je le sers ; j’ai bien failli lui retourner le plat une la tête : il m’a fait mal, ce con ! Dessert ; le clou du spectacle. Tous les huit, nous avons revêtu notre cape sans rien dessous. Sur scène, une danse : une valse effrénée. Trois tournoiements, et les capes s’ouvrent et se referment, les filles à l’intérieur. J’ai abandonné ma cape ; je suis nue, collée à Pat. J’ai mis mes pieds sur les siens ; nous glissons. Je ne vois rien, mais je sens son odeur, son sexe entre nous deux. D’une main je le touche ; lui me tient, et la cape aussi. Il ...
... s’arrête. Les ménestrels jouent la musique de Joe Cocker ; ils la jouent vachement bien maintenant ! La cape s’ouvre : je suis à genoux, en pleine fellation. Les convives applaudissent, nous encouragent comme s’il s’agissait d’une compétition. Après un service à table digne des plus grands cabarets du monde – en réalité, c’est le seul – le spectacle est sur scène. Mis à part la musique, aucun son ; pas même celui des couverts. Les convives sont suspendus à notre jeu d’acteurs, même si certains on vu la première version (la saison 1, dirait-on de nos jours). Le feu d’artifice arrive : chaque couple joue une position du Kâma-Sûtra différente. Nous, les filles, on glousse, gémit fort, simule, crie des « Ouiii… Encore ! Je jouiiis… » Les garçons aussi ; eux, ce sont des « Han ! » de mâles puissants. Nous sommes tous déchaînés ; nous crions tous en même temps pour simuler un orgasme commun. Moi, je suis en train de prendre mon pied. Pat ne m’a pas prévenue. Il m’a prise en levrette ; il vient tout bonnement de m’enculer comme un fou, et je hurle de bonheur. Du coup, les autres font pareil. Dans la salle, des « Waouh ! », des cris, des applaudissements. Les garçons descendent en salle pour aller peloter quelques paires de miches et motiver ces dames pour qu’elles s’occupent de leur cavalier. Comme prévu, Tina et moi sommes chacune allongées sur une table, la vulve bien en vue, pattes écartées. Sara commence à me fister la chatte ; à la surprise générale, personne ne connait – sauf Dame ...