1. Fin des travaux


    Datte: 09/02/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, grossexe, poilu(e)s, jardin, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio,

    ... sexe… Sans réfléchir, mue par l’envie que déclenchait sa caresse, j’ai moi aussi laissé ma main gauche s’égarer sur son entrejambe déjà gonflé d’une bosse prometteuse. Cet homme avait vraiment un don pour m’attirer, faire naître en moi des envies folles ! Sur la nationale qui nous ramenait en ville, il ralentit, emprunta une route à droite filant vers la rivière toute proche. — Où vas-tu comme ça ? Ce n’est pas le bon chemin !— Non, je sais, mais j’ai vraiment envie de te faire le coup de la panne…— Coquin, tu ne te lasseras donc jamais ?— Tant que tu ne me jetteras pas dehors ! Le désir me saisit à nouveau, mon corps s’enflamme doucement. Dom a dû le deviner car sa main se fait plus audacieuse encore, un doigt passe sur mon pubis puis presse mon clitoris. Je me crispe sur le manche qui déforme sa tenue. Les pointes de mes seins durcissent, une nouvelle poussée de désir envahit mes reins, mon ventre… — Ouvre ta robe, je veux voir tes seins.— Cochon !— C’est vrai ; mais tu es trop bandante ! Maintenant, caresse-toi. Écarte les cuisses et branle-toi. D’une main j’ouvre ma robe, malaxe un sein, triturant la pointe durcie ; de l’autre je caresse mon sexe humide. Je pose un pied sur le tableau de bord, offrant ma grotte béante à son index qui me fouille. Il stoppe la voiture sur la berge, derrière un petit bosquet, sans arrêter le moteur. Plus loin, j’aperçois un pêcheur qui se désintéresse de notre présence. Dom, toujours un doigt planté dans mon ventre, me regarde avec des ...
    ... yeux fous. Il libère son sexe monstrueusement gonflé, le caresse lentement. J’ai la tête et le ventre en feu. — Viens plus près de moi, ma belle… Il me fait me retourner, dos au pare-brise, et enjamber la colonne centrale. Je me retrouve à cheval au-dessus du vide-poche, les jambes largement ouvertes. Mon minou bâille, indécent, offert ! Je saisis sa queue d’une main pour le branler doucement. Je n’ai rien vu venir lorsqu’il appuie sur mes épaules. Je sens entre mes cuisses les vibrations du levier de vitesse. — Regarde le joli pommeau de cuir : on le croirait fait pour ton plaisir. Je suis sûr qu’il est juste à la bonne taille pour ton ventre… J’ai envie de te regarder t’empaler doucement dessus, de le voir t’écarteler, te perforer.— C’est vraiment du vice !— Tu n’aimes pas les hommes vicieux ?— Dans ton genre, si ; tu as pu en faire l’expérience, coquin ! Passant une main sur mes reins, l’autre sur mon épaule, il me fait avancer légèrement, abaissant mon bassin au-dessus du manche improvisé. Le contact doux, lisse du cuir contre mes lèvres et ma petite perle de chair m’arrache un long frisson. Dom imprime à mes reins de lents mouvements d’avant en arrière. Le pommeau se lubrifie de lui-même dans l’humidité qui perle au bas de ma toison. La pression sur mon épaule augmente insensiblement, mes chairs s’ouvrent autour du mandrin improvisé. Une ultime pression et je le sens me dilater, me pénétrer, distendant les parois de mon vagin, emplissant mon ventre, plus loin, plus profond ...
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