1. Fin des travaux


    Datte: 09/02/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, grossexe, poilu(e)s, jardin, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio,

    ... sexe pour m’inonder de longues giclées de sève. J’ai abandonné un instant ma caresse. — Humm… Comme c’est bon de te manger ainsi ! Ça me donne envie de plein de choses… Ta queue est belle, douce, dure…— Oh oui ! C’est toi qui me mets dans cet état ! J’aimerais qu’elle soit encore plus belle, plus grosse, plus douce pour toi.— Il y a longtemps que j’avais envie de toi, mais Alain est toujours là au mauvais moment…— Et moi donc ! Je me suis déjà caressé en rêvant à tes seins, ton ventre…— Profites-en… Dis-moi ; de quoi as-tu envie maintenant : ma bouche, mon ventre, mes reins ?— Ton ventre, ma belle ! J’ai repris un instant son gland entre mes lèvres, englobant d’une main ses bourses gonflées pendant que de l’autre je coulissais sur la tige dure et chaude. Je l’ai abandonné pour me redresser, appuyée sur le rebord du jacuzzi, face à lui. Il est venu se glisser entre mes cuisses largement ouvertes. Son gland a joué un moment sur mon clitoris, me faisant frémir de désir. Tous les deux, nous avons regardé la lourde colonne s’enfoncer doucement en moi. Lorsque son pubis a touché le mien, je l’ai agrippé par les ...
    ... hanches pour l’attirer au plus profond de moi. Les yeux dans les yeux, nous avons entamé un long ballet de nos deux corps soudés. Je contractais mon ventre pour enserrer le mât de chair qui m’arrachait de longs gémissements, fouillant mes chairs en feu, me transperçant puissamment. Ses mains malaxaient mes seins. Nos lèvres se joignirent encore. L’orgasme montait lentement en moi. — Viens maintenant ! Donne-moi tout, je vais jouir…— Oui, moi aussi…— Maintenant ! Donne ! Pierre s’est figé, raidi. J’ai encore senti son gland gonfler, buter sur mon utérus avant qu’il me remplisse de plusieurs giclées de sève qui déclenchèrent mon orgasme. Nos cris de bonheur et de jouissance ont été étouffés par notre baiser. Nous sommes restés enlacés plusieurs minutes avant de reprendre nos esprits. Il est reparti, bien plus tard. Nous avons encore échangé un long baiser, des paillettes brillantes au fond des yeux. Chaque fois que j’entrerai dans mon commerce, en passant sous l’enseigne je me souviendrai de ces trois jours de folie, de joie et de bonheur. Quant à Alain, je sais qu’il me pardonnera tout. Car je vais tout lui avouer ! 
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