1. Mylène et son cul


    Datte: 10/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Comme chaque samedi, Mylène consacrait une partie de son après-midi à son péché mignon : le shopping. Elégante quinquagénaire aux cheveux mi-longs blonds vénitiens, elle déambulait nonchalamment devant les vitrines, observant au passage son mise très soignée : une robe étroite arrivant à mi-cuisses dégageant ses épaules, mettant en valeur ses jambes fines juchées sur des escarpins et moulant un fessier bien proportionné, ni trop gros ni trop petit mais saillant sous l'étoffe. C'est en regardant une vitrine qu'elle aperçut dans le reflet un homme qui, à l'évidence, l'observait. Elle fit d'abord mine de ne pas s'en être aperçue et poursuivit sa déambulation. Mais en avançant dans les rues, elle découvrit que l'homme la suivait. Chaque fois qu'elle s'arrêtait, il s'arrêtait aussi. Et quand elle marchait, il faisait de même. Agacée, et un tantinet inquiète, elle décida de prendre le taureau par les cornes. Avisant l'homme, elle marcha résolument vers lui et lui tint ce langage : - Dîtes donc, vous, ça va continuer longtemps votre petit manège. Vous voulez quoi exactement ? L'homme, sans se démonter, répondit dans un sourire : - Mais madame, vous baiser, tout simplement. Vous avez le plus joli cul de la ville et il réclame un véritable hommage que vous n'avez certainement pas. - Quoi ? Qu'est-ce que vous dîtes ? Mais ma parole, vous me harcelez ! Fichez le camp ou j'appelle un agent de police. - Ne vous énervez pas, chère madame, mes intentions sont toutes pacifiques. Vous ne ...
    ... savez pas ce que vous perdez, c'est tout. Je serais long et dur pour une femme comme vous et on ne s'est jamais plaint de mes services. Pourquoi ne prendriez-vous un pot avec moi pour mieux me connaitre ? Mylène, décontenancée par l'aplomb de l'homme, finit par lui répondre : - Bon, ça va maintenant, allez-vous en où il va vous en cuire. Et de faire mine de dégainer son téléphone portable. L'homme répondit en lui lançant un baiser à distance de la main, tourna le dos, et s'en fut, le sourire aux lèvres. Il s'était bien amusé à provoquer cette bourgeoise bien nippée et, il faut dire, sacrément bien gaulée pour son âge. Au début, de dos, il avait cru à une femme de son âge, d'une trentaine d'années. Quand il avait vu son visage, déjà marqué par les années mais malgré tout séduisant, il s'était montré surpris mais toujours intéressé. "Quand on porte dans la rue une robe comme celle-là, c'est qu'on est une femme qui baise", avait-il conclu en se remémorant cette belle paire de fesses où saillait la marque d'un string sous l'étoffe, ces jambes bronzées et nerveuses et ces seins encore bien hauts.. Il l'avait bien matée et comptait l'aborder quand elle l'avait pris de court. C'était donc raté mais au moins, il avait essayé car en la matière, qui ne tente rien n'a rien. ********* Comme chaque samedi après son shopping, Mylène retrouva son amie Corinne dans leur salon de thé habituel. Elle lui raconta l'incident qu'elle venait de vivre : - Tu te rends compte, Coco, il m'a dit carrément ...
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