1. Mylène et son cul


    Datte: 10/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... nettement plus gênée que l'autre. Celui-ci se fit fort de briser la glace : - Oublions l'incident de l'autre jour, je vous présente mes plus vives excuses, madame la conseillère municipale. Soyons professionnels tous les deux. - Oui, bonne idée, continuons la visite, je dois rendre mon rapport dès ce soir. L'expertise se poursuivit dans un climat très apaisé, Damien arrachant même des petits rires de Mylène par quelques plaisanteries subtiles, ce qui confirma Mylène dans l'idée que son dragueur était peut-être lourd, mais dissimulait une autre facette de son personnage plus attrayante. Aussi, à l'issue de la visite, accepta-t-elle de prendre un verre avec lui. Une fois débarrassé de sa tenue de chantier, Damien apparut beaucoup plus séduisant à la quinquagénaire. La consommation se poursuivit par un déjeuner durant lequel l'homme brilla par son esprit. Il évita toute allusion sexuelle mais Mylène n'était pas dupe : il avait toujours l'intention de la baiser. La seule différence est qu'elle n'envisageait plus cette perspective d'une manière totalement négative. Les absences prolongées de son mari, exerçant sa profession à 500 km du domicile conjugal, la rendaient vulnérable à toute tentation d'autant que la séduction, comme on l'a vu, faisait partie de son modus vivendi. Le fait que ce jeune homme, incontestablement attrayant par son physique, et doté selon lui d'arguments virils susceptibles de séduire une femme esseulée, la considère comme baisable malgré la différence ...
    ... d'âge, ne pouvait que satisfaire son égo. Plus le temps passait et plus elle sentait monter le désir. Quand enfin elle se leva de table, elle sentit confusément le regard de l'homme planté sur son fessier moulé par le jean. Instinctivement, elle ondula de la croupe. L'homme ne s'y trompa pas : elle était mûre. Aussi, quand il lui proposa de reprendre la visite du chantier, interrompue, le soir même après le départ des ouvriers, elle accepta. ******** Elle se présenta à l'heure dite dans tout autre tenue, a priori peu compatible avec la visite du bâtiment en construction. Elle avait revêtue la même robe que le samedi précédent, les mêmes escarpins, la même absence de collants, et travaillé son maquillage, le "trompe couillon" rendu d'autant plus nécessaire qu'il lui fallait effacer un écart de vingt ans avec son séducteur. La découvrant, celui-ci sentit aussitôt entre ses jambes un phénomène naturel qu'il lui faudrait satisfaire au plus vite. Pas question de mener cette nana à l'hôtel comme une pouffiasse : il lui fallait de l'inédit, de l'incongru, du sauvage pour satisfaire ses fantasmes de bourgeoise. L'endroit, fait de couloirs et de pièces nues d'où des fils sortaient un peu partout, n'avait rien de glamour. Mylène fit comme si elle était dans le cadre de son mandat d'élue, écouta les explications du contremaitre, lequel faisait en sorte qu'elle le précède, en particulier dans les escaliers, afin de mater son cul moulé et mouvant. Mylène le savait et accentuait son roulis avec ...
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