1. 14 juillet


    Datte: 10/02/2020, Catégories: fh, voiture, Oral pénétratio, occasion,

    Depuis un an, Josette va régulièrement à un cours de danse, plus précisément un cours d’expression corporelle, dans une ville voisine. Aujourd’hui 14 juillet, c’est le dernier cours de la saison. Il fait lourd. En sortant du cours, les élèves ont entendu la musique qui vient du bal des pompiers non loin de là et décident d’aller y faire un tour. Josette est en robe, avec juste un petit sac à dos qui contient son justaucorps. Elle danse aussi bien avec les filles que les garçons du groupe. Le temps est de plus en plus lourd et bientôt les premières gouttes commencent à tomber, suivies par des éclairs et bientôt le tonnerre. Josette cherche à se mettre à l’abri car maintenant il pleut très fort. Un des gars du groupe lui crie : — Viens, ma voiture n’est pas loin ! Josette court derrière lui pendant une centaine de mètres. Il s’arrête enfin près d’une voiture, ouvre la porte côté passager et l’invite à monter pendant qu’il court de l’autre côté. Une fois à l’intérieur, ils rient tous les deux. — Je suis trempée, dit Josette. En effet, ses cheveux dégoulinent et son visage ruisselle d’eau. Il lui dit qu’il a une serviette dans son sac derrière. Il se retourne, prend un sac sur le siège arrière, en sort une serviette et lui tend. Elle s’essuie le visage, les cheveux et se tord le bras pour s’essuyer la nuque. Il lui propose de l’aider. Elle accepte et met sa tête sur les genoux pendant qu’il lui essuie le dos. — Tu es vraiment trempée, dit-il ! Elle se redresse et il lui essuie ...
    ... le cou, le décolleté. Et comme le décolleté est large, il lui essuie également le haut des seins. Josette est à la fois gênée et ravie d’être ainsi essuyée. Il continue de tapoter avec sa serviette, de sécher et bientôt, il tapote les seins et finit par dire : — Ta robe est comme une serpillière, tu vas attraper froid.— Je ne crois pas que ça risque beaucoup, lui répond Josette. Il fait si chaud ! Et c’est vrai, il fait toujours aussi lourd et la pluie tombe toujours aussi fort. Mais Josette trouve néanmoins que le garçon a raison. Sa robe baigne dans l’eau. Après tout, se dit-elle, dans les vestiaires, il m’a déjà vu en soutien-gorge. Elle déboutonne donc sa robe jusqu’à la taille et en fait glisser les épaules. Elle a un tout petit soutien-gorge d’été et elle constate qu’il est trempé lui aussi. Le garçon continue de l’essuyer, le ventre, le dos. Il lui essuie aussi les seins mais comme le soutien-gorge est mouillé, il lui dit : — Tu permets ? Et sans attendre la réponse, il fait glisser les bretelles du soutien-gorge sur les bras. Josette sourit et lui répond : — De toute façon, il est trop tard pour dire non, n’est-ce pas ? Ses seins sont maintenant à l’air. Et plutôt que d’abimer le soutien-gorge, elle le tourne, défait elle même l’agrafe, et le jette sur la banquette arrière. La voici donc seins nus dans la voiture. Le garçon lui essuie consciencieusement les seins, le dos. Et termine en lui faisant une petite caresse sur chaque sein. — Tss tss, fait Josette en souriant, ...
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