1. 14 juillet


    Datte: 10/02/2020, Catégories: fh, voiture, Oral pénétratio, occasion,

    ... yeux. Alors il se glisse sur le même siège que Josette, passant ses jambes au-dessus du levier de vitesse. « Toi, je te vois venir », pense Josette. Elle n’a pas tort. Quand il est à peu près assis à côté d’elle, il la soulève par les hanches, se glisse sous elle et la laisse redescendre. Il fait basculer le dossier au maximum. Il lui caresse les seins, le ventre. Josette a instinctivement écarté les jambes et c’est sans surprise qu’elle sent le sexe pénétrer en elle. Le garçon peut à peine bouger, aussi c’est elle qui prend appui avec ses mains sur les côtés du siège et commence un va-et-vient. Le sexe grossit et Josette s’empale de plus en plus. Elle est certaine que le gland touche son utérus. Elle aime. Le garçon aussi. Et il éjacule, lui causant un grand plaisir. Ils restent un long moment en silence. Il recommence doucement à lui caresser les seins. Elle se retourne un peu et l’embrasse. — Faudrait peut-être qu’on rentre, non ? La pluie a presque cessé… Le garçon reprend son jean, l’enfile tant bien que mal, remet sa chemise sans la boutonner. — Et toi, tu ne t’habilles pas ? demande-t-il.— On verra tout à l’heure ! répond-elle. Tu me ramènes ou je dois prendre le bus ?— Je crois que je peux bien faire un crochet, non ? Elle sourit. — Alors, je ne m’habille pas pour l’instant. Je suis bien comme ça, dit-elle en s’étirant un peu avec des allures de chatte. Il se penche, l’embrasse, lui touche les tétins et se décide à mettre ...
    ... le contact. Il roule prudemment car il pleut toujours un peu. Un quart d’heure plus tard, il arrive en bas de chez elle. — Il serait peut être temps de t’habiller ?— Pourquoi faire ? la rue est déserte, il est tard… Il n’en croit pas ses oreilles. Elle ne va pas oser… Et si ! Josette se penche, lui fait un baiser furtif sur la bouche, prend son sac et ses vêtements sur le siège arrière et sort majestueuse et nue de la voiture. Elle traverse le trottoir et entre dans le hall de l’immeuble. Elle se dit «Je suis une femme libérée, non ?» tout en se demandant si elle ne va pas rencontrer quelqu’un… Elle se retourne, envoie un dernier baiser du bout des doigts au garçon et se dirige vers l’ascenseur. L’ascenseur arrive et l’emmène à son étage. Elle est devant sa porte et réalise que ses clés sont au fond du sac. Tranquillement, nue sur le palier, elle pose celui-ci par terre, sort la robe mouillée, le slip, le soutien-gorge et trouve enfin les clés. Elle ouvre la porte, entre chez elle. Elle a tenu le pari qu’elle s’était faite. — Et voilà, je suis réellement une femme libérée… Nue, elle traverse l’appartement, met ses vêtements sur le séchoir. Son mari les voit quand il revient de son match de foot. Et le lendemain, il lui demande si elle n’a pas été trop mouillée pendant l’orage. — Si, dit-elle, mais un galant homme m’a ramené.— J’espère qu’il n’a pas abusé de la situation, au moins ? lui dit-il avec un sourire. Elle ne répond pas… 
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