1. Lorsqu'un jeune homme devient la soubrette d'un homme mûr


    Datte: 11/02/2020, Catégories: hh, hplusag, hagé, telnet, hsoumis, soubrette, humilié(e), BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels facial, Oral sm, attache, fouetfesse,

    ... serrée pour moi. Mon gabarit n’était pas des plus féminins : 1,70 m, quelques kilos en trop, avec un petit peu de ventre. Mais j’avais aussi des atouts que cette tenue mettait en valeur, notamment mes fesses et mes jambes. Une fois la tenue enfilée, je me suis redirigé vers le salon. J’avais un peu de mal à marcher, tellement les habits me serraient ; mais cela faisait partie du jeu, je pense. Arrivé au salon, je suis resté debout à côté du canapé ou se trouvait Monsieur (en effet, je n’avais pas oublié la dernière fois où il m’avait imposé de l’appeler ainsi). Il me regarda de la tête aux pieds, puis me demanda de me tourner, ce que je fis aussitôt. Ma première humiliation de la soirée : habillée en soubrette, devant un homme qui devait être en train de se régaler de la vue qu’il avait. Tout à coup, j’eus un léger sursaut car quelque chose me touchait les fesses : c’était sa main. Il l’avait glissée sous la robe et malaxait délicatement mes deux fesses, en passant de temps en temps un doigt le long de ma raie. J’étais quasiment tétanisé et je regardais devant moi sans bouger. Malgré tout, des frissons parcouraient mon corps et il le vit. Il continua ainsi pendant quelques instants, puis une claque s’abattit sur ma fesse droite et je ne pus m’empêcher de laisser échapper un « Aïe ! », non pas pour la douleur mais plutôt sous l’effet de la surprise. Il me parla alors : — Prends la boîte devant toi, ouvre-la et mets-les. Encore une surprise ? Il y avait effectivement une boîte ...
    ... sur la table basse. Je me baissai pour l’ouvrir et il en profita pour me mettre encore quelques petites claques légères sur mes deux fesses. Je pris mon temps car ces claques n’étaient pas si douloureuses et elles me procuraient un certain plaisir. À l’intérieur de celle-ci, je trouvai une paire d’escarpins, noirs et vernis, d’une hauteur vertigineuse. Je pense que les talons devaient dépasser les 10 centimètres. Quelle surprise ! J’ai toujours adoré voir une femme porter des talons aiguilles. Je trouvais cet accessoire terriblement excitant. Et ce jour-là, c’est moi qui allais en porter. Je ne me suis pas posé la question de savoir si ça allait être facile ou non de marcher avec ; après tout, cela ne devait pas être si compliqué ! J’ai posé les escarpins au sol et j’ai enfilé le premier pied. C’était du 41 et je faisais du 42,5 ; c’était un peu serré mais ça rentrait malgré tout sans que la sensation ne soit désagréable à cause de la douleur. Juste une petite gêne. Vint le tour du second pied, et ce fut beaucoup plus dur : en levant le pied pour le mettre dans l’escarpin, je me suis retrouvé en équilibre sur le pied gauche, sur un talon fin et haut, et ce qui devait arriver arriva : je suis tombé en arrière, heureusement sur le canapé. Je comprends maintenant l’agilité que peuvent avoir les femmes qui portent régulièrement des talons aiguilles. Je profitai d’être assis sur le canapé pour enfiler le second pied puis me relevai. J’avais l’impression d’être en haut d’une tour ...
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