1. Lorsqu'un jeune homme devient la soubrette d'un homme mûr


    Datte: 11/02/2020, Catégories: hh, hplusag, hagé, telnet, hsoumis, soubrette, humilié(e), BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels facial, Oral sm, attache, fouetfesse,

    ... et d’être prêt à perdre l’équilibre à la moindre erreur ! Il fallait absolument que je reste concentré sur mes pas. Ça y est, j’étais prêt… ou prête, je ne savais plus trop. Monsieur avait l’air absolument ravi du rendu, et je vis une bosse au niveau du pantalon qui ne pouvait que trahir son excitation. Et cela, grâce à moi ! — Va me chercher deux verres dans le meuble et sers-nous deux bons whiskies, sans glace. J’ai exécuté son ordre, posé les verres sur la table, servi le whisky, puis il me demanda de m’asseoir à côté de lui. Nous avons allumé une cigarette et bu notre verre, devant la télé. Il avait sa main sur ma cuisse et la caressait. Cela provoqua chez moi une nouvelle grosse érection. Il prit ma main et la posa sur sa braguette. Je sentais une bosse que je connaissais maintenant, et je n’avais qu’une envie : libérer son sexe et le prendre dans ma bouche. Je pensais d’ailleurs en avoir le droit, mais à peine son verre terminé il se leva et me dit : — Je dois aller sur mon PC ; suis-moi. Je me suis levé en même temps que lui et il me prit par la main. J’ai été très surpris mais je compris que c’était plutôt pour m’imposer un rythme de marche qu’une marque de tendresse. C’était la première fois que je marchais avec des talons et je faillis tomber à chaque pas. Arrivés dans le couloir qui menait au bureau, il me fit passer devant lui car nous ne passions pas à deux de front. C’était en fait prévu par Monsieur car je pense qu’il a alors pu admirer mon déhanché provoqué ...
    ... par les talons. J’avais l’impression de marcher comme une salope le ferait pour provoquer des hommes. Et ça marchait, puisqu’il me plaqua face au mur et se colla à moi. Je sentais son sexe se frotter contre mes fesses pendant qu’il m’embrassait le cou. Ce n’était pas prévu, mais je ne pouvais rien faire pour me dégager. Je sentais son souffle s’accélérer à chacun de ses frottements. Ma robe était très fine et je pouvais très bien sentir son sexe gonfler contre ma raie. J’eus le droit à quelques mots doux tels que « Tu sais que t’es une bonne salope, toi ? » ou encore « Ton cul m’excite à mort, petite pute. » Alors il me retourna et se colla contre moi, son sexe contre le mien. Mon réflexe fut de poser mes mains sur ses hanches et alors, avant que j’aie pu dire ou faire quoi que ce soit, il m’embrassa. Il savait que je ne voulais pas, mais il le fit. Je sentis sa langue forcer l’entrée de ma bouche mais je maintenais mes lèvres fermées. Au bout de quelques secondes, je lâchai prise et sa langue s’engouffra dans ma bouche, fouillant chaque recoin. Je ne contrôlais plus rien et je le laissai faire. Il prit l’une de mes cuisses pour que je remonte ma jambe. J’étais à lui, et il m’a embrassé durant de longues minutes. Puis il s’arrêta tout d’un coup et me fit reprendre la marche. Nous sommes arrivés au bureau et il m’ordonna de me mettre sous le bureau. L’endroit était plutôt exigu mais je réussis à trouver une position pas trop inconfortable. De cet endroit, je le vis défaire sa ...
«12...4567»