1. La petite joaillière


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe

    En tant que joaillière, j’étais très souvent invitée à des soirées données par des clients. Je venais d’avoir vingt-six ans, j’étais célibataire depuis peu de temps et ce genre d’occasion me changeait les idées. Je gagnais bien ma vie et je ne côtoyais que des gens riches.Ce soir-là, la soirée eut lieu chez Julie et Marc, un couple qui avait la cinquantaine et que je connaissais peu. Deux semaines auparavant, j’avais créé une bague à la demande de Marc et à l’intention de Julie. Un superbe anneau en argent sur lequel était gravé une phrase tirée d’une chanson d’Alain Bashung :La nuit je mens.Nous étions une vingtaine autour de la table. Je connaissais la moitié des convives et il y avait beaucoup d’alcool. Et Marc ne m’a presque pas quittée des yeux au cours du repas. Il a aussi très souvent fait des allusions à moi, à mes talents de joaillière, mais aussi à l’élégance de la robe que je portais ce soir-là. Elle était noire, assez longue, fendue à mi-cuisses et très légèrement décolletée.Les pluies de compliments font toujours rougir, mais Marc me plaisait bien, d’autant que j’appréciais la compagnie des hommes mûrs. Seulement voilà, il était marié et son épouse était présente autour de cette table. Alors j’ai très peu réagi aux compliments. Je me suis faite discrète.Et ce n’est qu’à la fin du repas que Marc s’est décidé à venir s’asseoir près de moi. Très près. La moitié des invités étaient partis, et ceux qui étaient encore là s’étaient retrouvés sur la terrasse au bord ...
    ... du jardin, à profiter de l’air tiède de l’été.Il m’a dit :« Vous avez beaucoup bu, il me semble, vous feriez mieux de rester dormir ici et de repartir demain matin, non ? »J’ai remué la tête en disant :« Ça devrait aller, je n’ai que trois kilomètres à faire. »« Trois kilomètres, c’est suffisant pour avoir un accident ou pour vous faire contrôler. Nous avons des chambres d’amis. Restez donc dormir ici. Cela me ferait plaisir. »Son haleine empestait le vin, mais je pense que c’était le cas de la mienne également. Je l’ai regardé dans les yeux et lui ai répondu :« Je ne voudrais pas déranger. »Il a posé une main sur mon épaule nue en disant :« Vous ne dérangerez personne. Restez donc. »Depuis ici, j’entendais des femmes discuter et rire sur la terrasse. Nous étions seuls dans la pièce, Marc et moi. Sa main n’avait pas quitté mon épaule et il m’avait regardée tout le long de la soirée.Je lui ai dit :« D’accord. »Il m’a fait un grand sourire et il a dit :« Dans ce cas, suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre. »Il s’est levé et je l’ai suivi.Je titubais très légèrement, mais lui aussi.Il m’a invitée à le précéder dans un escalier, puis, à l’étage, il m’a dit que c’était la deuxième porte à droite. C’était une chambre dans les tons miel et gris clair. Chaleureuse. Un grand lit. Une petite odeur d’encens.Au milieu de la pièce, je me suis retrouvée face à Marc qui m’a regardée des pieds à la tête en disant :« Tu me plais beaucoup. »J’ai bien aimé le passage du vouvoiement au ...
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