1. La petite joaillière


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe

    ... tutoiement. J’avais les bras le long du corps, je ne savais pas quoi en faire. Marc se tenait à moins d’un mètre de moi et nous distinguions vaguement les rires qui se répétaient au rez-de-chaussée, sur la terrasse.J’ai fini par lui répondre :« Je vous aime bien aussi, mais votre femme est là et je ne voudrais pas qu’il y ait des problèmes. Il vaudrait mieux qu’on se retrouve ailleurs, un autre jour et dans un autre endroit, vous ne croyez pas ? »Il a remué la tête en s’approchant de moi :« Il n’y aura pas de problèmes. »Puis il a posé ses mains sur mes hanches, délicatement.J’ai dit :« Elle peut monter ici à tout moment. »Il a répondu :« Tais-toi. Montre-moi plutôt tes seins. »Ce n’était pas la première fois que je me retrouvais avec un homme mûr dans une chambre, au terme d’une soirée. Des hommes qui avaient l’âge de mon père, mais parfois aussi des plus âgés. Je les aimais comme ça. Chacun son truc. Je ne me suis jamais permise de juger les goûts des autres.Marc avait cinquante-six ans et ça me convenait.Sauf que sa femme était dans la maison.Il m’a embrassée sur la bouche, puis il a répété :« Montre-moi tes seins. »Les femmes parlaient fort et rigolaient toujours au rez-de chaussée.J’ai ouvert ma robe, et Marc s’est aussitôt mis à me sucer un téton, tout en tripotant l’autre avec une main. Je l’ai laissé faire, l’oreille tendue, au cas où il y aurait eu des bruits de pas dans l’escalier.Puis il a relevé la tête en disant :« Qu’est-ce que tu portes en bas ? »Il n’y avait ...
    ... aucun bruit autour de nous. Seulement ces voix sur la terrasse du jardin.J’ai répondu :« Une culotte taille basse. »Il m’a dit :« Enlève-la et ouvre tes cuisses sur le lit. »J’ai obéi.J’en crevais d’envie.J’ai jeté ma culotte sur le sol et j’ai ouvert mes cuisses au bord du lit en regardant Marc qui baissait son pantalon et son caleçon dans un même geste à ses chevilles. Puis il s’est approché et m’a bouffé la chatte.Au rez-de-chaussée, je ne parvenais pas à deviner ce que se disaient les femmes. Elles riaient par moment, et moi je me faisais dévorer la moule par un homme qui avait l’âge de mon père.Ensuite, il s’est redressé et j’ai regardé son gland s’approcher de mon entre-cuisses. Il m’a pénétrée sans v******e, puis il s’est mis à faire des va-et-vient dans ma chatte qui était trempée.Je me souviens qu’il m’a dit :« Salope. »Je n’ai pas contesté.Il m’a dit aussi :« J’ai le goût de ta moule sur ma langue, embrasse-moi. »Je l’ai embrassé.Il avait une assez grosse bite et je prenais mon pied. Je me caressais le clito de temps en temps, ou alors les seins. J’ai toujours aimé me les pincer en me faisant baiser de cette façon.A un moment donné, il s’est retiré de ma chatte et a ôté sa chemise. Il est ensuite revenu glisser son gland en moi.Il m’a dit :« J’ai envie que tu te mettes complètement à poil. »J’ai remué la tête en disant :« Non, votre femme va finir par se demander où on est. Et si jamais elle monte, on n’aura pas le temps de se rhabiller. »Il n’a rien répondu.Il a ...