Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3) - Histoires de Sexe

Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3)

... soirée ou plutôt une nuit assez chaude entre elles. Une fois que Claude a jugé que les programmes ne nous intéressaient plus, il s’est levé, et sans tourner autour du pot, il m’a pris par la main pour m’aider à me relever puis m’embrasser. C’est vrai que quelque part, c’était agréable de se sentir femme et surtout désirée par un bel homme. Là où j’étais le plus mal à l’aise, c’est sur le regard de Patricia et Muriel, que devaient-elles penser de moi. Après un long baiser gourmand, Claude m’a fait passer devant lui, et nous sommes montés à l’étage en empruntant cet escalier grinçant, mais oh combien magnifique. Pendant que j’avançais devant lui, je me sentais épié par les deux femmes, mais surtout je sentais les mains de Claude me caresser les fesses et cela me faisait beaucoup d’effet. Moi qui d’habitude, passais mon temps à mater les filles au boulot, à fantasmer sur elles, ce soir c’est moi qui avais pris ce rôle et j’étais la proie du patron de ma belle. En plus d’être totalement travesti, j’ai vraiment la sensation que même mon corps l’était, car il était vraiment très réceptif à ses attouchements. — Bonne nuit mon chéri. J’avais quitté le canapé tel un automate guidé par Claude, et j’avais oublié de faire un gros bisou à ma chérie. J’ai donc rebroussé chemin, perché sur mes escarpins, pour aller partager un baiser passionné avec elle. — Je suis sûre que tu vas passer une nuit mémorable, me dit-elle avec le sourire. Sur de tels propos, il n’y avait pas de doute, ...

... Patricia était dans le coup depuis le début. Après ce baiser gourmand, je suis parti rejoindre Claude au pied de l’escalier, qui n’a pas pu se retenir de m’embrasser à nouveau. Je me suis mis à monter, en quelques instants j’ai senti les mains de Claude remonter le long de l’intérieur de mes cuisses. Jamais je n’aurais cru qu’un homme puisse m’exciter à ce point, la tenue devait y être pour beaucoup. Quand nous sommes arrivés dans la chambre, je me sentais véritablement sa proie, je savais ce qui allait m’arriver, mais ne savais pas trop à quelle sauce. Il m’a fait asseoir sur le lit, m’a débarrassé de mes escarpins, puis m’a fait me glisser sous les draps en m’expliquant que j’allais dormir ainsi vêtu. Une telle tenue pour dormir n’était pas pour me déplaire, car le moindre de mes mouvements me faisait un effet monstre, au niveau du frottement des matières. Je ne sais pas s’il y avait du désir ou de la gourmandise, mais je l’ai regardé avec attention se déshabiller. Il avait une assurance et un corps bien sculpté, deux choses dont je manquais. Une fois totalement dénudé, il est venu se glisser sous les draps, à mes côtés, mais surtout dans mon dos. Quand il m’a pris dans ses bras, je n’avais strictement aucun doute à avoir, je lui faisais toujours de l’effet. Après la journée que nous venions de vivre, surtout pour moi, j’avais quand même une petite envie de dormir. Au bout de quelques minutes, j’ai compris que lui n’avait pas obligatoirement envie de me sauter dessus, mais plutôt ...